Workshop avec Lauren Fair : Stain reduction of ceramics
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Workshop avec Lauren Fair : Stain reduction of ceramics
L'IRPA et La Cambre organisent un atelier en compagnie de Lauren Fair (Winterthur Museum, Garden & Library / University of Delaware, États-Unis) dans le cadre du projet Patrimoine en danger (CHrisis).
L'atelier s'adresse aux conservateur·rice·s et restaurateur·rice·s de céramiques, qui sont intéressé·e·s par les principes de réduction des tâches et par une introduction aux défis rencontrés dans les régions belges touchées par les inondations.
Les conférences, qui portent notamment sur la théorie du nettoyage, les matériaux et les méthodes d'application, ainsi que sur des études de cas basées sur des années d’expérience, sont proposées avec des ateliers pratiques. Seront également présentées les recherches de l'IRPA sur l'efficacité et les effets secondaires des méthodes de traitement.
Les participant·e·s auront ainsi une compréhension des implications chimiques et physiques en jeu lors des traitements de réduction des taches et pourront ainsi explorer ces traitements dans leurs propres laboratoires de conservation.
Deux catégories de billets sont disponibles :
Théorie uniquement (participation en ligne) : une demi-journée le 26 mars 2024.
Théorie et pratique (participation en présentiel) : 2 jours, les 26 et 27 mars 2024 à La Cambre
A l'initiative de l'atelier Conservation et restauration des oeuvres d'art
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Fixer l’archipel
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Fixer l’archipel
Colloque porté par Philippe Terrier-Hermann, artiste enseignant chercheur et responsable du pôle de recherche Contrat Social et l’Institut Supérieur des Beaux-Arts de Besançon au Frac et professeur Master à l'atelier de Photographie à La Cambre.
Hervé Charles, responsable de l'atelier de Photographie, en compagnie de Barbara Felgenhauer et Camille Poitevin présenteront le film Au-dessus des os réalisé à Hydra par le groupe de recherche et les diplômé.es du Master en 2022.
Le programme de recherche « Fixer l’archipel » est né en 2017 d’une volonté de proposer diverses méthodologies de travail à partir de l’espace insulaire méditerranéen, en considérant ce dernier comme un point de départ, mais surtout comme un point de vue spécifique pour développer une pensée géographique et métaphorique sur les positions des artistes, des citoyens, dans la société. La Méditerranée, mare medi terra en latin, signifie littéralement, la « mer au milieu des terres ».
MEETING POINT #28
Louis Couturier & Jacky Georges Lafargue
proposé par l'atelier d'Espace urbain.
La conférence présentera La vie de l’eau à Bruxelles exposé actuellement à l’Espace Urbain ainsi que des projets couvrant la période de 2014 à 2022. Touchants eux aussi au thème de l’eau, dont plusieurs sont conçus pour l’espace publique.
Louis Couturier et Jacky Georges Lafargue travaillent ensemble depuis 1991. À ce jour, ils comptent plus de quarante expositions solos réparties entre le Canada, les États-Unis et l’Europe.
Formé à l’UQAM et à l’École Nationale des Beaux-Arts de Lyon, ce duo franco-canadien aux personnalités distinctes réalisent des projets qui engagent des communautés et /ou explorent des lieux hors normes. Leur pratique consiste à regarder le monde, le vivre et s’y frotter pour en capter et restituer des parties de son essence et de sa complexité.
La nature des réalités abordées par le duo est variée. Cela va du Nunavut à l’île de la Réunion, en passant par la mine d’amiante d’Asbestos, la Baie James, Saint-Pierre-et-Miquelon ou encore plus récemment la frontière Manitoba/ Etats-Unis, les paysages australiens et les communautés mohawks de Kahnawake, Akwesasne, et Six Nations.
Leur travail a été vu dans des institutions telles le Musée d’art contemporain de Montréal, la galerie de l’UQAM, le Musée des beaux-arts de Montréal, le Musée national des beaux-arts du Québec, le Musée de Picardie (France) et le Centre Culturel Canadien à Paris.
Photo Bouger la mémoire, Louis Couturier & Jacky Georges Lafargue, 2019
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WOLLEKE
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WOLLEKE
WOLLEKE
conçu et prototypé en 2021 pour la Ville de Bruxelles, par Magoux Baeyens, Robin Boddez, Leonore Durand, Audrey Fontenoy, Gilles Rémy. Avec la collaboration de B&T Textilia.
Produit cet automne en 600 exemplaires par la Ville de Bruxelles, en partenariat avec l'asbl Les Petits Riens et l'ETA L'Ouvroir.
En 2020-21, les étudiant.es Master 1 en Design textile et Design industriel ont travaillé pour la Cellule Climat de la Ville de Bruxelles, à la conception d'alternatives aux chaufferettes pour les terrasses de l'HORECA. Wolleke est le projet sélectionné par la Ville parmi les six propositions des étudiant.es.
Résolument bruxellois, Wolleke est un objet à usage individuel, qui combine plaid et tote-bag, pour une pause en terrasse lors des trajets en ville.
Photos : Henri Doyen
Exposition de fin d'année et de fin d'études des étudiant·es de Photographie et de Sculpture.
Une école d’art - et a fortiori un atelier - est un espace protégé d’expérimentation de soi qui offre les opportunités de développement de sa créativité, de ses obsessions et des questions à la fois individuelles et collectives qui animent les étudiant·es.
Bien que les deux cursus de Photographie et Sculpture soient distincts au sein de l’école par leur «appartenance» spécifique à un médium, des connivences propres au champ de l’art contemporain opèrent dans les deux ateliers autour des notions de point de vue et d’image, de spatialisation ou de lecture critique du monde. Ces ateliers souhaitent également renouer avec une pratique de réflexion mutualisée, unis par une même conviction de développer des projets d’expositions dans un contexte professionnel ayant pour ambition l’exigence et le détail.
Le BPS22 offre donc à la fois un terrain de jeu pour ces étudiant.es et une vitrine pour leurs travaux artistiques. L’accueil de ce projet au sein d’un centre d’art à la réputation internationale est à la fois une opportunité formatrice et symbolique. Formatrice car il s’agit d’une rencontre entre des étudiant.es et une équipe, un lieu connu pour ses collaborations avec des artistes confirmés. Symbolique car une exposition hors école est un tremplin pour ces futurs professionnels du milieu de l’art. Animé par les mêmes objectifs, soucieux de rendre le musée accessible à tous les publics, le BPS22 accueille au même titre et avec le même engagement les étudiants en art que les artistes reconnus.
Devenir artiste, c’est plonger dans un nouveau territoire; c’est s’adresser à l’autre et tendre à l’universel à partir de préoccupations personnelles; le BPS22 et les équipes pédagogiques de Photographie et de Sculpture de La Cambre s’unissent pour faire de l’exposition F(r)ictions le porte-voix de ces jeunes générations d’artistes.
Aliki Christoforou Constantara, Barbara Felgenhauer, Maëlle Helias, Romane Iskaria, Mishio Jacques, Maud Langlais, Lucine Letassey, Laure Lhoas, Camille Poitevin, Kamand Razavi, Anna Touré y présentent leurs travaux de fin d’études.
Lucille Briffaud, Théo Desmaizières, François Jacquemin, Asma Laajimi, Madeleine Petit, Camille Peyre, Rishi Singh, Valentine Vadella y présentent leurs travaux de Master 1.
Sculpture (Johan Muyle, Nancy Casielles, Sofia Dati, Virginie Devillers, Geoffroy Devolder, Aurélien Imbert, Philippe Ledocte, Anne-Cécile Maréchal, Maxence Mathieu):
Sophia Dieckschaefer, Lucas Mesdom, Flavia Parone y présentent leurs travaux de fin d’études.
Laurent Deffes, Flavie Houx, Kimia Nasirian, Loona Petrucci, Olivia Perce, Pernilla Roos y présentent leurs travaux de Master 1.
Justine Salamin, Valentine Jolibois, Zélie Boggio-Simon y présentent leurs travaux de Master en 3 ans et d’Erasmus,
Galatée Deschamps, Tom Forrest, Léo Marybrasse y présentent leurs travaux de fin de cycle de Bachelier 3.
Harriet Bénard, Blanca Castro Xiques, Elliott Schott, Tekla Subrizi y présentent leurs travaux de Bachelier 2,
Eve Gonzalez, Khorshyd Khajooyee y présentent leurs travaux de Bachelier 1.
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Paliers Plateaux
Paliers Plateaux
Exposition de fin d'études des étudiant.es de Master de l'atelier de Céramique.
Labo_Demo : Entaille dans la création littéraire contemporaine émergente
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Labo_Demo : Entaille dans la création littéraire contemporaine émergente
12 performances éclectiques portées par les étudiant.es des formations supérieures en écritures de Belgique et de France.
Rassemblées à l’initiative du Centre, les formations supérieures en écritures de Belgique et de France - l’université Paris 8 - l’École Nationale Supérieure des Arts Visuels de La Cambre et Cergy Paris Université / ENSAPC - s’associent pour cette troisième édition du LABO_DÉMO.
15 auteur.ices issu.es de ces formations ont ainsi été sélectionné.es pour participer au labo :
Solos : Selima Atallah Chettaoui, Mathis Berchery, Camille Bleker, Louise de Bastier, Eli Desnot Marsan, Yasmine El Amri, Robin Faymonville, Adèle Goardet, Bastien Hauser, Esther Teillard, Hélène Yamba Guimbi.
Initiés en 2019, les « LABO_DEMO » du Centre Wallonie-Bruxelles | Paris, sont des dispositifs dédiés à valoriser la création contemporaine émergente – en arts visuels & en littératures contemporaines in & hors les livres. Implémentés avec la complicité d’écoles supérieures d’arts belges et françaises, l’ambition de ces cycles transdisciplinaires et hybrides est de valoriser des signatures artistiques encore non identifiées publiquement et d’attester autant de l’excellence de ces formations que de leur intrication, à l’heure où les parcours artistiques s’internationalisent et se déterritorialisent.
Quadriennale de Prague 2023 — RAFT, Emergency Theatre
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Quadriennale de Prague 2023 — RAFT, Emergency Theatre
Les étudiant.es de B2 de l'atelier de Scénographie sont lauréat.es d'un concours inter-écoles pour la conception et la réalisation du pavillon étudiant.es Belge à la Quadriennale de Prague 2023.
The RAFT, Emergency Theatre
Emergency Theatre : Un théâtre temporaire construit en réponse à une crise. Concept lié à «l'abri d'urgence» (architecture) et aux «mouvements d'occupations» (socio-politique). Le Emergency Theatre est un lieu culturel qui accueille spectacles, débats et créations in situ ; quand le théâtre traditionnel ne le peut pas, parce qu'il est fermé, détruit ou contrôlé. La crise peut être climatique, économique, politique, sociale, ou comme dernièrement, sanitaire.
Le Raft est un théâtre d'urgence qui se veut une micro-nation sur un bateau, un théâtre pirate sur une plateforme, une cabane métallique dans les arbres. Nous sommes tou.tes ensemble sur ce radeau pour réfléchir, parler, écouter, s'amuser, voir le monde qui nous entoure et imaginer le monde de demain et les solutions d'aujourd'hui. Spectacles live, conférences, jeux de société… ou tout simplement un espace public pour chiller avec vue ! Le RAFT est le lieu de chacun, comme un espace de vie, pour revendiquer et passer à l'action.
Projet collectif conçu et porté par les étudiant.es suivant.es :
Lucie Chauvin-Philippson
Mathis Parmentier
Félicie Decleire
Gaïa Adri
Rafaelle Roux
Projet encadré par Arié van Egmond.
Le concours a été organisé par :
l'ATPS (association des techniciens professionnels du spectacle) et la STA ( scenografie, theatre, architectuur, archieven en onderzoek).
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NAVIRE.AVENIR
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NAVIRE.AVENIR
L'atelier de Design textile a participé à l'initiative interdisciplinaire de PEROU https://www.perou-paris.org/pdf/Actions/02_NAVIREAVENIR_projet.pdf
lors d'un workshop dans les locaux de STAM Europe à Bruxelles, du 24 au 28 janvier 2022.
Première restitution des contributions et des études le 9 avril prochain à Coco Velten, Marseille.
D’évidence, le textile est à bord : cordages, voiles, couvertures, ... En de constantes interactions, il relie, protège, porte, guide, tire, (r)assure. Les qualités fonctionnelles et sensibles du matériau souple résonnent avec les enjeux solidaires et collectifs portés par Navire.Avenir.Les étudiant.e.s et enseignant.e.s de l’ENSAV La Cambre en design textile amorcent des structures réversibles et polyvalentes sur le pont place; tendre un câble, orienter, sécuriser, ombrager, étendre le linge.Comment fabriquer un dispositif fonctionnel, qui contribue à l’accueil sur le navire et laisse une large marge d’appropriation ?
Workshop encadré par Pauline Santoni, Helen Vandevloet, Éric Chevalier, Toma Muteba Luntumbue.
Coordination : Anne Masson et Linda Topic.
Après des études de lettres classiques, d’archéologie et d’histoire de l’art à l’Université de Strasbourg, Thérèse Willer dirige depuis 1992 la collection Tomi Ungerer aux Musées de Strasbourg et a ouvert à Strasbourg en 2007 le musée éponyme. Elle a été commissaire de près d’une centaine d’expositions sur le sujet dans le monde, contribué à des catalogues et dirigé ceux des collections permanentes et des expositions temporaires du Musée Tomi Ungerer. En 2008, elle a soutenu une thèse de doctorat en histoire de l’art à l’Université de Strasbourg, « L’œuvre graphique de Tomi Ungerer », qui a obtenu en 2009 le prix Martin Bucer décerné par la Fondation Saint-Thomas à Strasbourg et qui a été publiée aux éditions du Rocher en 2011 sous le titre « Tomi Ungerer. Graphic Art ». Elle s’intéresse de manière plus large au thème de l’illustration au XXe siècle (Saul Steinberg, Roland Topor). Elle s’attache au Musée Tomi Ungerer/Centre international de l’Illustration à ouvrir les collections à un large public, plus particulièrement grâce à la médiation avec des outils tangibles, en collaboration avec l’Atelier de didactique visuelle de la HEAR.
Rencontre avec Kasia Redzisz, première directrice artistique de KANAL—Centre Pompidou
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Rencontre avec Kasia Redzisz, première directrice artistique de KANAL—Centre Pompidou
Meeting Point #22
Conférence à l'initiative de l'atelier de Photographie
Rencontre avec Kasia Redzisz, première directrice artistique de KANAL — Centre Pompidou.
Une belle occasion pour lui poser toutes vos questions!
La Fondation KANAL et le Centre Pompidou accueillent Kasia Redzisz en tant que première directrice artistique de KANAL-Centre Pompidou, musée interdisciplinaire d’art moderne et contemporain situé à Bruxelles, dont l’ouverture est prévue pour 2024. Kasia Redzisz y a pris ses fonctions à la fin de l’année 2021 après avoir été sélectionnée par un jury international plus tôt dans l’année.
Kasia Redzisz rejoint KANAL-Centre Pompidou après six années à la Tate Liverpool, où elle occupait le poste de Senior Curator depuis 2015. Elle y était responsable du programme d’expositions et de présentation des collections du musée ainsi que des collaborations internationales. Kasia Redzisz y a organisé plusieurs expositions saluées par la critique, notamment celles de Lucy McKenzie, de Theaster Gates, de Maria Lassnig, ou encore d’Edward Krasinski. Par ailleurs, de nouvelles commandes auprès d’artistes tels que Judy Chicago, Ugo Rondinone ou Sol Calero ont également été réalisées sous sa direction.
De 2010 à 2015, Kasia Redzisz à occupé le poste de commissaire d’exposition à la Tate Modern où elle a, entre autres, curaté les exposiions de Sigmar Polke, Alighiero Boetti et Mira Schendel. Entre 2008 et 2015, elle fonde et dirige Open Art Projects, une association Polonaise à but non lucratif dédiée aux commandes d’art innovantes. Entre 2011 et 2018, elle dirige avec l’artiste Miroslaw Balka le projet Otwock, explorant la relation entre art et localité. Plus récemment, son travail indépendant comprend de nombreux projets interdisciplinaires, tels que, l’exposition inaugurale du Muzeum Susch en Suisse (2019) ou encore la 4e édition de la Biennale Art Encounters à Timisoara (2021). Kasia Redzisz à également contribué à l’édition de plusieurs catalogues d’exposition et d’écrits dans des revues telles que Frieze, Mousse et Tate Etc.
Yves Goldstein, directeur de la Fondation KANAL, s’est exprimé au sujet de sa nomination : « Kasia Redzisz apporte une vision artistique avant-gardiste, qui reflète son engagement en faveur d’une programmation interdisciplinaire et de l’établissement de dialogues entre des pratiques artistiques issues de géographies diverses. Cette vision est soutenue par l’expérience unique qu’elle a acquise en travaillant intensément, non seulement dans des musées mais aussi dans des formats expérimentaux hors du contexte institutionnel. Ses compétences largement reconnues en matière de conservation et de leadership seront déterminantes pour l’élaboration d’un modèle institutionnel pour un nouveau musée, tant audacieux sur le plan artistique, que profondément conscient de son rôle civique. »
Laurent Le Bon, Président du Centre Pompidou, déclare : « Je suis ravi de voir Kasia Redzisz prendre la direction de KANAL-Centre Pompidou. Sa réputation est celle d’une conservatrice innovante, mais aussi rigoureuse. Son expérience institutionnelle et sa connaissance approfondie des collections des musées en font la partenaire idéale pour dialoguer avec le Centre Pompidou. Je me réjouis de notre collaboration lors de ce nouveau chapitre du partenariat entre la Fondation KANAL et le Centre Pompidou. »
Kasia Redzisz, directrice artistique, s’exprime à son tour : « Je suis ravie de rejoindre KANAL-Centre Pompidou à ce moment charnière de la mise en place de cette nouvelle institution. Bruxelles est le foyer de citoyens multiculturels, d’un nombre croissant d’artistes aux divers horizons et d’autant d’organisations culturelles. Ils seront indispensables pour l’avenir de KANAL, un musée qui sera équipé pour représenter et accueillir ces communautés tout en répondant à un monde en constante évolution - pertinent pour les débats mondiaux, mais engagé dans sa localité. La vision que je développe pour KANAL est celle d’un musée dynamique, réactif et interdisciplinaire - un espace d’expérimentation qui brise les paradigmes, qui nous rassemble pour célébrer l’art et continuer à repenser son rôle crucial dans nos vies. La création d’une nouvelle institution offre un potentiel gigantesque. Je suis ravie de me voir confier la responsabilité d’envisager son avenir et je suis impatiente de travailler avec mes collègues de KANAL, les artistes, les travailleurs culturels, les communautés, les chercheurs ainsi que les partenaires locaux et internationaux à la réalisation de ce projet. »
Les artistes Justyna Wierzkowiecka, Tanguy Poujol, Alice Pallot, Benoît Jacquemin, et Romy Berger exposent leurs oeuvres du 14/01/22 au 12/02/22 à la Galerie Immix, 116 Quai de Jemappes, 75010 PARIS.
Constituée d'ancien.nes et d'actuel.les étudiant.es de La Cambre, l'exposition "Portion déterminée de l'espace" dévoile des oeuvres résonnant avec l'histoire personnelle de chacun.e des artistes. Au-delà de leur âge, de leur profil socio-économique ou de l’actualité, la notion de lieu
traverse leurs recherches: la Poméranie, le lieu de l’enfance et des origines pour Justyna Wierzkowiecka qui la regarde avec la sagacité des
yeux de l’exil; le lieu de l’histoire familiale africaine et du secret de famille pour Benoît Jacquemin qui s’inspire d’images de propagande coloniale; l’ancrage au lieu même de l’exposition pour Tanguy Poujol qui y crée un labyrinthe émotionnel; son propre corps comme lieu d’expérimentations médicales récurrentes pour Romy Berger; le lieu de résilience du confinement -malgré sa pollution avérée- pour Alice Pallot.
Le lieu apparait à la fois comme espace mental de recherche pour l’artiste, l’espace capté par l’appareil et l’espace d’expression et d’exposition du travail, induisant une complémentarité indissociable entre l’action du photographe et l’objet qui en résulte. Nous sommes heureux de pouvoir partager ces oeuvres en ce lieu-ci, à Paris, à la Galerie IMMIX.
Commissariat : Hervé Charles
Avec le soutien de la Galerie IMMIX, Les Amis de La Cambre, le Centre Wallonie-Bruxelles et OPENART.TODAY.
La collective Bye Bye Binary (BBB), formée en novembre 2018 lors d’un workshop conjoint des ateliers de typographie de l’École de Recherche Graphique (erg) et La Cambre (Bruxelles), propose d’explorer de nouvelles formes graphiques et typographiques adaptées à la langue française prenant pour point de départ, terrain d’expérimentation et sujet de recherche le langage et l’écriture inclusive. Le Théâtre National Wallonie-Bruxelles a depuis peu une nouvelle direction et, pour accompagner ce nouveau regard porté sur le monde, initie un travail en profondeur sur son identité. Parce qu’il faut bien commencer quelque part, un premier rendez-vous est donné pour aborder la question de l’écriture inclusive. Comment, en tant qu'institution culturelle, se positionner sur son usage ? Pour y réfléchir en profondeur, le Théâtre National organise une journée de réflexion et de rencontres entre ses équipes et des invitæs extérieures afin d’apporter un éclairage sur cette question.
Le Théâtre National Wallonie-Bruxelles a depuis peu une nouvelle direction, un nouveau projet, et, pour accompagner ce nouveau regard porté sur le monde, initie un travail en profondeur sur son identité. Pour être à la hauteur de ses missions, il est important que ce changement ne soit pas que cosmétique, mais bien qu’il implique des changements de perspectives. Écologie, durabilité, égalité des genres, nouveaux modes de gouvernance et de management… autant de sujets déjà pleinement présents au cœur de l’institution et de son fonctionnement ainsi que dans les axes de programmation mais qu’il semble pertinent aujourd’hui de questionner davantage.
Parce qu’il faut bien commencer quelque part, un premier rendez-vous est donné pour aborder la question de l’écriture inclusive. Comment, en tant qu'institution culturelle, se positionner sur son usage ? Pour y réfléchir en profondeur, le Théâtre National organise une journée de réflexion et de rencontres entre ses équipes et des invitæs extérieures afin d’apporter un éclairage sur cette question.
La linguiste Laurence Rosier (ULB, Bruxelles) membre du Conseil de la langue française et de la politique linguistique en Belgique
Læ linguiste Alpheratz (Sorbonne Université, Paris) autaire d'une grammaire au genre neutre
Enzo Le Garrec, membre du Club Mæd, autaire du Guide Pratique du Langage Inclusif en École d'Art
Eugénie Bidaut (Atelier National de Recherche Typographique, Nancy) et Laure Giletti (Atelier de Typographie, La Cambre, Bruxelles), membres de la collective Bye Bye Binary actix sur le développement de caractères typographiques inclusifs, non-binaires, genderfucker.
Joëlle Sambi (autrice, artiste associée au Théâtre National) est associée à cette journée dans la perspective de la tenue d'une seconde journée d'étude à venir qui prolongera la réflexion sur les systèmes de domination dans la langue et l'écriture.
Camille Circlude (erg, Bruxelles) membre de la collective Bye Bye Binary et Benoît Henken du Théâtre National coordonnent cette journée de réflexion.
Comment se positionner politiquement en faveur des recherches autour de l’écriture inclusive, non-binaire, post-binaire, genderfucker ?
Comment faire le pari de la recherche et de l’expérimentation, travailler avec des formes partielles, en construction, en évolution, ouvrant les imaginaires collectifs ?
Comment tout à la fois porter la voix singulière de chaque artiste et le projet artistique global de l'institution ?
Comment mettre en place les moyens nécessaires à l’accompagnement du personnel de l’institution dans la découverte, l’apprentissage et la pratique de l’écriture inclusive et des créations typographiques ?
Comment intégrer le public le plus large possible dans cette démarche volontariste ?
Comment s'engager dans des protocoles de licences libres qui autorisent et promeuvent l'utilisation, la modification et le partage de créations typographiques ?
La veille, à l’occasion de la sortie d'un article de Bye Bye Binary dans la revue Raddar, la collective viendra présenter ses travaux, le jeudi 25 novembre de 18h à 21h, à la librairie Peinture fraîche ainsi que leur sélection de livres commentée.
Bye Bye Binary (BBB) est une collective franco-belge, une expérimentation pédagogique, une communauté, un atelier de création typo·graphique variable, un réseau, une alliance. La collective, formée en novembre 2018 lors d’un workshop conjoint des ateliers de typographie de l’École de Recherche Graphique (erg) et La Cambre (Bruxelles), propose d’explorer de nouvelles formes graphiques et typographiques adaptées à la langue française, notamment la création de glyphes (lettres, ligatures, points médians, éléments de liaison ou de symbiose) prenant pour point de départ, terrain d’expérimentation et sujet de recherche le langage et l’écriture inclusive.
Mario Ramos est né à Bruxelles en 1958, d'une mère belge et d'un père portugais. Sa petite enfance est rythmée par des séjours chez sa grand-mère maternelle, à l'orée d'un bois, et des grandes vacances au Portugal.
"Les premières histoires en images qui m’ont émerveillé sont les films de Charlot et les albums de Tintin. Très tôt, je suis fasciné par tout ce qu’on peut transmettre par un petit dessin. Études supérieures de communication graphique. Je découvre les fabuleux dessins de Tomi Ungerer et de Saul Steinberg. On s’inscrit toujours dans une continuité, c’est bon de remonter aux sources. Je commence par réaliser de nombreuses affiches, des dessins de presse, et finalement des livres pour enfants qui deviennent mon activité principale. Avec un crayon et du papier, tout est possible. C’est magique!"
Auteur engagé auprès des enfants et des professionnels, Mario Ramos a publié ses 33 albums chez Pastel. Ses loups, cochons, singes et autres personnages font rire et réfléchir les grands et les petits dans le monde entier.
Mario Ramos nous a quittés le 16 décembre 2012.
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Oh Jinkyung
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Oh Jinkyung
Meeting Point #21
Conférence à l'initiative de l'atelier Communication visuelle et graphique
À l'occasion d'un workshop de 3 jours avec les étudiants de Bachelor 2 de l'atelier de Communication visuelle et graphiste, la graphiste sud-coréenne Oh Jinkyung partagera sont parcours de designer graphique ainsi que son expérience d'enseignante à l'Université Hongik et à la PaTi (Corée du Sud).
Oh Jinkyung est designer graphique orientée vers l'édition et membre de l'Alliance Graphique Internationale (AGI).
Elle a travaillé comme designer graphique pour une agence de publicité et une maison d'édition. Elle a également enseigné pendant plus de 10 ans à l'Université Hongik et à la PaTi (Paju Typography Institute).
Actuellement, elle est en charge de la direction artistique d'une série de manuels scolaires de coréen pour l'Institut Nationale de la Langue Coréenne (National Institute of the Korean Language).
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Exposition Perspectives, Science - Graphic Art Collaborations
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Exposition Perspectives, Science - Graphic Art Collaborations
Cette exposition retrace trois éditions du projet académique Recherche en Perspective pour lequel des étudiants de Master en Communication Visuelle et Graphique (ENSAV La Cambre) et des chercheurs de l’ULB issus de disciplines variées ont collaboré.
Ensemble, ils ont co-créé et produit des supports de communication illustrant de manière attractive et visuelle des contenus scientifiques parfois difficiles à appréhender et communiquer.
Dans leur objectif commun de rendre plus accessibles la connaissance, le savoir-faire et les patrimoines scientifique et culturel bruxellois, Ohme et les Halles Saint-Géry vous invitent à découvrir l’exposition Perspectives du 8 octobre au 31 décembre 2021 aux Halles Saint-Géry.
Cette exposition retrace trois éditions du projet académique Recherche en Perspective pour lequel des étudiants de Master en Communication Visuelle et Graphique (ENSAV La Cambre) et des chercheurs de l’ULB issus de disciplines variées ont collaboré.
Ensemble, ils ont co-créé et produit des supports de communication illustrant de manière attractive et visuelle des contenus scientifiques parfois difficiles à appréhender et communiquer.
Car si l’engagement dans la recherche académique et scientifique vise à contribuer à l’avancée des connaissances dans un domaine spécifique, cette contribution n’a de sens que si elle est comprise et partagée.
**Vernissage et talk introductif le 07.10.21 dès 18h00.
Ce vernissage sera introduit par un panel talk autour l'ArtScience, thème à l'originie de Mise en abyme au coeur de l'ArtScience, travail issu de la collaboration entre Cécile Cuny et Raoul Sommeillier et premier chapitre de l'exposition.
Le panel talk sera composé de:
SHOW OFF 21 !
Une fois de plus, le défilé de mode des nouveaux talents de l’atelier de Stylisme et création de mode n'a pas pu avoir lieu en raison de l'épidémie. Il s'agit traditionnellement du spectacle le plus attendu à Bruxelles, mais l'élan de créativité des étudiant·e·s n'est pas resté enfermé.
Par petits groupes, les étudiant·e·s de La Cambre Mode[s], futur·e·s créateur·rice·s de mode, ont poursuivi leur travail sous la supervision d'une équipe de professeur·e·s extrêmement motivé·e·s.
Pour rattraper le show, et pour rendre les nouvelles compétences des étudiant·e·s accessibles toute l'année, l'école d'excellence bruxelloise lance son SHOWOFF 21 sur LA CAMBRE MODE/S/, le 18 juin.
Cette page présentera en détail les vêtements et produits imaginés par ces jeunes créateur·rice·s. Des images animées de la mode émergente, et des photos de S+G @sander_gretar, et exposées au 254Forest Studio et à ElevenSteens Gallery. La mode est OFF, vive la mode.
Modèle Malika/Perruques en vinyle par les étudiant·e·s de Bachelor 1/ Direction artistique par Pierre Daras/ Typographie "Latrodectus Hasselti" par Paloma Brancato-Plana, Bac 2 de L'atelier de Typographie / Conception graphique et animation vidéo par Isabel Debry, Troisbarrespoint.
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Le saut du quartz
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Le saut du quartz
Exposition des diplômé.e.s 2020 et 2021 de l'atelier de Céramique.
avec Léna Babinet, Pauline Bonnet, agathe Dupérou, Lynn Schoonbroodt, Livia Spinga, Anatole Tièche et Félicien Umbreit.
Équipe pédagogique : Caroline Andrin (responsable du cursus), Abel Jallais, Erwan Mahéo, Coline Rosoux et Joëlle Swanet.
In a time where urgent environmental issues demand bold changes, the conservation-restoration community is facing unprecedent challenges in order to reduce the impact of conservation practice on the environment and human health. The conferences that constitute this “Meeting Point” will present an overview of the promising results obtained by two former students from the Conservation-Restoration department of ENSAV-La Cambre who have recently investigated alternatives to reduce the human and environmental toxicity related to solvent use during the cleaning and cold relining of paintings. This “Meeting Point” has been organized in collaboration with the Escuela de Conservación y Restauración de Occidente (ECRO), from Guadalajara, Mexico.
Program
1. Presentation of the Meeting Point – Dr. Isabel Villaseñor (ECRO) + Cécile de Boulard (La Cambre). 5 minutes.
2. Turning to Green Conservation for the Preservation of Culture Heritage. Bianca de Souza Gonçalves (La Cambre). 10 minutes + 10 minutes Q&A
According to UNESCO, cultural diversity is just as necessary as biodiversity. The preservation of humanity’s cultural heritage should thus be indissolubly linked to the preservation of the planet. Nonetheless, numerous current conservation-restoration practices are damaging to the environment: from high energy consumption to the use of toxic materials and/or treatments, and the production of considerable amounts of waste. Conservation-Restoration is thus a profession that is not yet suited to the most pressing ecological issues of our time. Fortunately, conservators-restorers are beginning to be aware of their environmental impact and to understand its causes. Thus, in the last few years, a desire has arisen to find solutions that can address both the needs of the objects and the urgency of reducing the negative impact of conservation practice on the environment. Indeed, sustainable research and alternative materials are being developed, while platforms allowing to share good practices have appeared. This presentation will introduce these matters and show that enhancing sustainability in the cultural heritage sector may definitely be a challenge, yet it is one we, as a professional community, must urgently tackle.
3. An introduction to less toxic approaches for the cleaning of paintings. The particular case of acrylics. Bianca de Souza Gonçalves. 20 minutes + 20 minutes Q&A
Research on artworks cleaning has fostered the emergence of a panoply of methods, techniques, and materials which offer alternatives to reduce the use of solvents and other toxic products. Gels and emulsions are nowadays some of the best solutions in conservation and restoration to approach a “greener” conservation practice. Agar, the Nanorestore gels, Pemulen TR-2, and Velvesil Plus appeared (at least in theory) as an excellent opportunity to bring green chemistry awareness to cultural heritage conservation-restoration and, more specifically, for the cleaning of acrylic emulsions. This presentation is based on the research conducted under the supervision of Prof. Cécile de Boulard (CROA - ENSAV, La Cambre) and Dr. Richard Wolbers (Heritage Scientist), which dealt with a series of experiments specifically designed to investigate the environmental and health impact, the physicochemical principles, the facility of preparation/application, and the treatment efficiency of the four gels mentioned above for the cleaning of acrylic paintings. This presentation will focus on how these gels work and how we can adapt them to different types of cleaning problematics, while including sustainability and environmental criteria.
4. Skirting the solvents' toxicity: the cold-lining of paintings by reactivation Clémence Teitgen. 20 minutes + 20 minutes Q&A
Solvents are massively employed during the treatments involved in the conservation of paintings. Some of them are considered “good solvents” because they allow to successfully perform the desired conservation treatments. Nonetheless, other important aspects such as their polarity, retention or human and environmental toxicity, are not always taken into consideration. This presentation will offer an overview of how to skirt the toxicity of aromatic solvents employed in the reactivation of an acrylic adhesive when performing a cold-lining by using efficient alternatives that are safe for the treated objects, conservators-restorers and the environment. Indeed, results obtained during a research project performed under the supervision of Prof. Cécile de Boulard (CROA - ENSAV, La Cambre) and Dr. Paolo Cremonesi (Heritage Scientist), allowed to outline radically less toxic mixtures of alcohols, esters or ketones and iso-octane which allow to obtain high lining strength efficiencies at similar or lower polarities than xylene. These solvent mixtures are not only interesting for this specific application, but xcould also be valuable for other conservation treatments.
5. Conclusions and final remarks. Francisco Mederos-Henry (La Cambre). 10 minutes.
Biographies
— Bianca de Souza Gonçalves
Paintings conservator, Studio Redivivus, NL
bianca.ds.goncalves@gmail.com
Originally from Brazil, Bianca Gonçalves is currently a paintings conservator at Studio Redivivus in the Netherlands. She received a BA in conservation and restoration from the Polytechnic Institute of Tomar, Portugal, and latter specialized in the conservation of easel and panel paintings through a MA at ENSAV La Cambre in Brussels.
Given a lifetime interest in sciences and art, Clémence Teitgen obtained a scientific Baccalauréat diploma followed by a Bachelor in Art and Archaeological History from the University of Strasbourg in France, where she was introduced to the conservation of historical monuments. After her B.A., she spent a year in Rome studying paintings’ conservation before starting her studies at the Conservation-Restoration department of ENSAV La Cambre, where she obtained her Master of Arts in 2020. She is now working as a freelance paintings conservator between Belgium and France.
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Third place or What?
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Third place or What?
TICK TACK en collaboration avec La Cambre — École nationale supérieure des arts visuels et les Master de l’atelier Espace urbain vous invitent à l’exposition collective Third place or What?
Projet porté par Paul Gérard et Jules Flamen, coordination par Laure Cottin Stefanelli avec Cédric Noël et Raymond Balau.
Third place or What? émet l’hypothèse de l’existence d’un tiers-espace, d’une zone informel comme point de jonction entre l’espace rationnel, nos fictions personelles ou collectives et nos experiences vécues.
Avec les travaux de Paul Gérard (BE), Romane Iskaria (FR), Lucine Letassey (FR), Xavier Duffaut (BE), Charlotte Quinonero (BE), Jules Flamen (FR).
CINÉMA TT
Chaque vidéo présentée dans ce programme transforme les territoires filmés en un espace de mémoire en se référant à des rituels anciens et au patrimoine architectural. Ainsi, les Serres royales de Laeken sont transformées en mausolée, un laboratoire botanique est personnifié, un arbre au milieu des montagnes kurdes devient lieu de recueillement et des objets en argile dispersés dans la ville de Dakar invoquent notre héritage culturel.
Avec les videos de Mehdi Gorbuz (BE), Ana Touré (FR/ML), Ophélie Hilbert (FR).
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ITINERANCES - Exposition de sortie de résidence
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ITINERANCES - Exposition de sortie de résidence
« Suivre les matières, c’est entrer dans un monde
en perpétuelle ébullition. Au lieu de le comparer
à un vaste musée ou à un grand magasin, il serait
sans doute plus utile de l’envisager comme
une gigantesque cuisine. Dans cette cuisine, divers
mélanges se font, engendrant de nouvelles matières qui sont à leur tour mélangées à d’autres ingrédients, selon un processus infini de transformations »
Tim Ingold, « La vie dans un monde sans objets »,
Perspective, 1 | 2016.
ITINERANCES est une proposition de l’atelier de Design textile de La Cambre et Valérian Goalec, en collaboration avec les Abattoirs de Bomel / Centre culturel de Namur.
L'exposition présente le travail des 11 étudiants ayant participé à la résidence : Marion Aeby, Shéryl Blauvac, Maud Brunstein, Sarah Carestia, Joséphine Charles, Suzanne Corcessin, Lucie Lenardon, Eden Millon, Clara Smoljanovic, Helen Vandevloet et Marie Vanrapenbusch.
Exposition des Master 2 de l'atelier de Peinture dans le cadre de OPEN AIR
L’Oxymore est, dans le champ des pratiques artistiques et peut-être ailleurs aussi, la plus juste façon de dire et de penser le monde, à rebours des lourdeurs et des plates évidences qui en rétrécissent inexorablement les confins. Etre artiste ou chercher à le devenir consiste souvent à suivre l’indien de Kafka, galopant dans une lande tondue et tremblante, sans éperons – car il n’y avait pas d’éperons - puis sans encolure ni tête de cheval. Le meilleur inaperçu tient peut-être de cette sorte de promesse – cette paradoxale absence tenant lieu d’une multitude d’affranchissements.
L’exposition regroupe les travaux des étudiants en Master 2. Elle cultive les ellipses et les incises, brouille les références et démultiplie les chemins à prendre. Loin de se cantonner à la seule peinture, elle forme un rébus décloisonnant notre rapport à l’image, au paysage, à l’identité, au son et à l’architecture. Un joyeux désordre qui en pointillés trace la géographie de l’atelier : cet espace dont le meilleur est ici à suivre et à prendre, à étendre encore et toujours.
Benoît Dusart
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Fenêtre sur cours
Fenêtre sur cours
Une sélection de travaux en cours des étudiant.e.s de l’atelier de Photographie
(de Bac1 à M2) dans le cadre de OPEN AIR
Organisée dans le cadre du partenariat entre les masters en dessin de La Cambre d'une part et de l’École supérieure des Arts de la Ville de Liège d'autre part, accueillie par FdG Projects, l’exposition Vrai/Semblance regroupe des œuvres de six étudiant·e·s, dont trois sont inscrit·e·s dans l’une des deux formations et trois dans l’autre. Leur rencontre s’effectue autour de la notion de vraisemblance, laquelle suppose l’existence de son corollaire, le faux semblant.
Toute image manifeste ce qui la constitue concrètement en même temps qu’elle donne une forme à ce qu’elle représente, ou à ce qu’elle évoque subjectivement à qui la regarde. Elle opère à la façon d’un leurre, c’est-à-dire d’un objet qui se fait passer pour autre chose qu’il n’est. Entre la matérialité et le contenu symbolique s’établit une tension. C’est à l’exacerbation de celle-ci que visent les œuvres exposées.
avec le soutien de FdG Projects by Frederic de Goldschmidt Collection
L’art de Van Eyck et la restauration de l’Agneau Mystique
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L’art de Van Eyck et la restauration de l’Agneau Mystique
MeetingPoint #18
Conférence à l'initiative de l'atelier de Conservation, restauration des œuvres d'art
Van Eyck est à l’honneur en cette année 2020. La restauration de l’Agneau Mystique des frères Van Eyck à Gand vient de connaître l’achèvement de la 2e phase sur les trois que compte le projet. Une exposition est également consacrée à Van Eyck au MSK de Gand, intitulée Van Eyck, Une Révolution optique (du 1er février au 30 avril 2020) qui permet d’admirer un nombre assez exceptionnel d’œuvres du maître.
L’atelier de Conservation, restauration des œuvres d'art de La Cambre, qui compte plusieurs restaurateurs ayant participé à cette restauration pour l’IRPA-KIK, se devait d’organiser quelque chose autour de l’évènement.
Laure Mortiaux et Marie Postec exposeront le travail de restauration déjà effectué sur les revers des volets (présents à l’exposition) et sur le registre inférieur du retable ouvert (à nouveau à la cathédrale de Gand), ainsi qu’une introduction à l’art de Van Eyck pour permettre à chacun.e d’apprécier pleinement l’exposition de Gand.
Decolonizing the mind. We are the Other. est la cristallisation d’une thématique exploratoire et d’un temps de rencontre et de discussion entre artistes étudiant·e·s de La Cambre et écrivain·e·s étudiant·e·s de la Creative Writing Academy for Refugees & Asylum Seekers. Plus qu’un module académique, le projet WEDGE dans lequel l’exposition s’inscrit s’est esquissé autour des notions de frontières, de lisières mentales et géographiques et formalisé en laboratoire participatif, inclusif, collaboratif et fluide, renversant ainsi les méthodes coloniales où dogmes et doxa se figent en méthodes soustractives et impérieuses.
Exposition en extension au module transdisciplinaire WEDGE, projet protéiforme, co-animé et co-organisé par Sulaiman Addonia (fondateur de la Creative Writing Academy for Refugees & Asylum Seekers), et Esther Le Roy (Designer-typographe, enseignante à l’atelier de Typographie de La Cambre), et initié par Jean Pierre Muller (artiste et enseignant responsable de l’atelier de Gravure et image imprimée de La Cambre).
Par soustraction, on entend ici l’obsession normative, l’absolu de la définition, l’arbitraire de la délimitation qui, par le sang, les larmes et les instruments de mesure, caractérisent les entreprises coloniales. Le laboratoire WEDGE et ses extensions sont des territoires d’accueil, des lieux d’addition(s), où la polyphonie orchestrée à l’unisson s’efface au profit d’un brouhaha dissonant et fertile, où le monde se déploie en collectif(s) et en superposition(s). Aucune position n’y est stable ou acquise et les places y sont difficiles à prendre car jamais figées.
Decolonizing the mind. We are the Other. s’inscrit à la fois comme première manifestation autonome du projet WEDGE, mais également dans le Asmara-Addis Literary Festival in Exile fondé par Sulaiman Addonia, se déroulant les 27 et 28 février 2020 à Bruxelles (voir programme). L’évènement Cambrien propose un premier temps de rencontre le 28 février, avec une présentation des textes des étudiants de la Creative Writing Academy, une visite guidée des pièces produites par les étudiants artistes de La Cambre, et une table ronde autour des notions de frontières et de bordures, en écho aux thématiques révélées par les textes et productions exposés. Un second temps propose la prolongation de l’exposition les jours suivants (2-6 mars), avec une retranscription vidéo de la journée du 28 diffusée en plus de l’exposition des pièces des étudiants.
Institutions partenaires:
Commune d’Ixelles et Passa Porta
Benjamin Vandewalle a étudié à l’École Royale de Ballet d’Anvers et est gradué de P.A.R.T.S., à Bruxelles, en 2006. Il a très tôt intégré à son travail le thème de la perception. Il crée du mouvement – non seulement dans les corps des danseurs, mais également dans ceux des spectateurs. Son travail traite du partage de nouvelles expériences et perspectives avec le grand public.
Pour les performances Birdwatching (2009) et One/Zero (2011), il travaille en étroite collaboration avec l’artiste visuel Erki de Vries. En 2012, il quitte le théâtre pour s’aventurer dans l’espace public. Sa performance ambulante Birdwatching 4x4 est un must des festivaliers et critiques et a tourné pendant plusieurs saisons. Aujourd’hui, Benjamin tourne avec l’installation Inter-view (2013) ainsi qu’avec la chorégraphie sonore Hear (2016). Pour ces deux pièces, il collabore avec des groupes de participants locaux. Il travaille également sur plusieurs projets de performances et installations dédiées à l’espace public.
Benjamin Vandewalle s’intéresse de près à l’éducation de la danse et s’adresse à des enfants, des amateur.rice.s, des étudiant.e.s ainsi qu’à des professionnel.le.s. Il a été invité en tant que professeur au KASK et au MUDA et a également créé une chorégraphie pour Passerelle. (Courtrai, BE). Il a collaboré avec l’école de danse sud-africaine Niakaza, a dirigé le projet Comfusao au Mozambique et a accompagné un groupe d’étudiants en danse de P.AR.T.S., au cours d’un échange au Sénégal. En collaboration avec le philosophe Jan Cnops et un groupe d’écoliers de Molenbeek, il a réalisé les documentaires (un)usual et Movements.
Benjamin Vandewalle est artiste en résidence au Kaaitheater de 2017 à 2021.
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ALL INDETERMINACIES ARE ONE (titre provisoire)
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ALL INDETERMINACIES ARE ONE (titre provisoire)
1er rendu sonore dans le cadre d'un workshop proposé et animé par Théo Casciani, Vincent Dieutre et Pierre Rousseau,
à l'atelier des Écritures contemporaines de La Cambre
Ce workshop visera à questionner les relations de la littérature aux pratiques artistiques contemporaines, à cerner les moyens d’y fondre les principes d’autres disciplines et donc à ouvrir le texte à de nouvelles possibilités esthétiques, économiques et politiques par la création d'une pièce sonore cosignée par les trois intervenants et les membres de l’atelier. La semaine se dépliera d’abord autour d’œuvres contemporaines chères à chaque étudiant·e, qu’elles soient aimées ou détestées, qu’elles procèdent d’une culture légitime ou d’un corpus dit populaire, qu’il s’agira ensuite de faire exister textuellement sans se contenter de les citer ou de les montrer.
Informations complémentaires du workshop: voir pièce jointe à gauche
Exposition des projets des étudiant.e.s dans le cadre du module transdisciplinaire Master Fiction et Immersion
sous la direction d'Aleksandra Chaushova et Nikolay Nikolov
ÉCRITURE( S )
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ÉCRITURE( S )
Exposition des étudiant.e.s de Master du module Art(s) et écriture(s) inititié et organisé par François de Coninck, Alessandro de Francesco et Jean-Baptiste Carobolante.
Le module Art(s) & Écriture(s) est le lieu d’une double exploration. Celle des rapports entre le mot et l’image dans la création artistique contemporaine, d’une part ; celle du mot qui se fait image et de l’écrit qui se fait œuvre, de l’autre. Mais l’écriture et l’image ne sont pas toujours en relation d’amitié : dans le sillage de l’art conceptuel, le langage peut abriter un conflit productif à l’encontre de la domination de l’image et de la vision dans l’histoire de l’art aussi bien que dans les média et dans l’histoire de la perception en général. Si bien que l’écriture peut se configurer comme négation de l’image, comme alternative conceptuelle à la domination des images dans le monde contemporain, et c’est peut-être là aussi que se joue son importance pour le présent et le futur des arts.
L’intention est également de mettre l’accent sur les nouvelles formes de l’écrit dans l’art et le(s) rôle(s) que ces dernières sont amenées à jouer dans la réinvention du rapport entre écriture et arts plastiques. Le 21e siècle a vu en effet émerger et se multiplier de nouveaux supports de l’écrit charriés par les avancées technologiques : leur émergence et leur développement ont donné lieu à de nouvelles formes d’expression chez les artistes qui s’en sont emparés. Les mutations et les modulations contemporaines de l’écrit induisent de nouveaux usages, produisent des expérimentations inédites, élargissent des perspectives, suscitent des réflexions et des questions dont ce module voudrait se faire la caisse de résonance. Il s’agit de questionner, en l’explorant à partir de pratiques artistiques concrètes, la variété contemporaine des formes de l’écrit dans l’art.
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Out of Order
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Out of Order
MeetingPoint #16
Conférence de Julien Maire, à l'initiative de l'atelier de Photographie dans le cadre du workshop Micrographia
À travers ses installations et ses performances, Julien Maire sonde systématiquement les technologiques audiovisuelles. Sa recherche s’agrège en un manifeste hybride oscillant entre l’archéologie des médias et le développement d’une nouvelle constellation des technologies numériques. Ses productions se révèlent être de véritables prototypes, au sens étymologique du terme (du mot proto: "premier, forme primitive" et du mot tupos : "empreinte, marque"). En produisant des configurations technologiques uniques, il génère des images d’une qualité nouvelle.
En tant que prototypes industriels, ces créations originales, aussi ingénieuses et raffinées soient-elles techniquement, sont plutôt inutiles : trop complexes, trop délicates et trop maladroites pour être considérées pour la production en série. En tant qu'énoncés artistiques, la fonction principale de ces constructions grandeur nature est de provoquer un effet d'émerveillement, alertant le spectateur sur le statut ambivalent des images en mouvement produites par une machine.
Extrait de 'The productivity of the prototype- on Julien Maire’s Cinema of Contraptions', Edwin Carels - University College Ghent - Belgique
Julien Maire (né en 1969) travaille depuis le milieu des années 90 au croisement de plusieurs disciplines comme la performance, l'installation média et le cinéma, produisant des œuvres-performances live et hybrides.
Ses œuvres ont été présentées à Transmediale, Ars Electronica, Digital Art Festival, European Media Art Festival, Film Festival Rotterdam, Film Festival Oberhausen , Sonar, ZKM, ICC Tokyo, Empac, Powerstation Shanghai. Julien Maire à été le lauréat de la Biennale Update_2 en 2008 et finaliste du World Technology Award de New York en 2009; son travail s'est vu distingué par trois mentions d'honneur au Prix Ars Electronica.
Micrographia
La figure de Robert Hooke demeure encore largement méconnue en Europe. Il est cependant considéré comme le Léonard d’Angleterre : mécanicien, expert en optique, astronome et dessinateur hors pair. En 1665, il publie ce qui est à présent considéré comme le tout premier best seller scientifique, à savoir,: “Micrographia” ( Micrographie ) qui rassemble les gravures de ses observations faites au microscope et au télescope.
En utilisant des technologies DIY, des webcams transformées, le workshop propose de concentrer son regard sur des images micros et macroscopiques. Loin des prouesses et des technologies actuelles, il s’agira plutôt de renouer avec la fascination que pouvaient susciter les premières et empiriques observations de ce qui relevait du visible.
Les étudiant.e.s du CASO Performance et arts du corps
Martin Bonnaz, Hugo Charpy-Puget, Zoé Couturier, Anjan, Clémence Didion, Telma Lemarchand, Alexandre Lorgnier du Mesnil, Nine Louvel, Sarah Minutillo, Pauline Morel, Alexane Sanchez, Yang Seojin, Anatole Tièche
présentent leurs travaux avec
Jacques André, Isabelle Bats, Claude Cattelain, Boris Dambly, Ophélie Mac, Antoine Pickels, Robin Pourbaix et Gaëtan Rusquet
Entrée
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Entrée
L’exposition Entrée en miroir est le résultat d’un module d’enseignement de 110 heures de recherches collectives qui s’adresse à 14 étudiant.e.s de l’atelier de Dessin de La Cambre.
L’enchevêtrement d’expériences dessinées révèle des indices particuliers d’explorations, de rencontres et d’échanges qu’ont pu vivre les étudiants dans le quartier Wielemens Ceuppens, Van Volxem et Pont de Luttre, à Forest. L’éclectisme des lieux, tant sur le plan architectural que social, les interpelle.
L’exposition de Gabriel Kuri Sorted, Resorted présentée au Wiels est le point de départ de leur enquête poétique et méthodique.
Accueillis au cœur du centre d’Art contemporain pour y établir l’atelier, les étudiant.e.s y engagent leurs recherches, esquissent les premiers témoignages et ébauchent leurs idées. Ils/Elles empruntent à l’artiste son organisation qui, par des procédés de collection, contraste, récupération ou amplification d’objets banals propose un regard polysémique sur l’échange. Si l’artiste explore le papier comme support de valeur et de trace d’activité, les étudiants choisissent d’en renforcer sa fragilité.
L’ancienne banque du quartier héberge la présentation de leurs expérimentations comme le résultat d’observations diverses et minutieuses. L’atelier devenu nomade a trouvé refuge, une seconde fois, à l’Antenne de quartier qui a remplacé le comptoir de finance.
Au croisement des trois avenues, les étudiant.e.s brassent et interprètent la réalité. Ils dévoilent les changements de modèles ; ils réinventent la vie et l’histoire d’un territoire précieux.
La jeune artiste Sandrine Morgante invitée par l’atelier de Dessin accompagne les étudiant.e.s dans ce module.
Ce projet est rendu possible grâce à la complicité d’Annabel Debaenst, reponsable pédagogique du Wiels, Anne Bocquet et Kévin De Bruyne à l’Antenne de quartier. Ce projet reçoit le soutien du Wiels, centre d'Art Contemporain, de Stéphane Roberti, Bourgmestre et Charles Spapens, Echevin de la Revitalisation des quartiers, dans le cadre du Contrat de Quartier Durable Wiels-sur-Senne.
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Retour sur la création d’un livre collectif Art / Littérature / Philosophie : La Besogne des Images
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Retour sur la création d’un livre collectif Art / Littérature / Philosophie : La Besogne des Images
MeetingPoint #15
Retour sur la création d’un livre collectif Art / Littérature / Philosophie : La Besogne des Images
par Léa Bismuth
Conférence à l'initiative de l'atelier des Écritures contemporaines
Extrait du livre dont elle a assuré la direction et qui est paru en Mai 2019 aux éditions Filigranes : On voudrait tout mettre dans un livre. Faire quelque chose du chaos du présent. Nécessité, labeur, labour, tâche soucieuse qui roule d’âge en âge. Des images chuchotent à nos oreilles. Certaines ont une force d’impact, d’autres restent en travail. À partir d’elles, une forme inassignable s’annonce. Une écriture. Une affaire de main et de regard, de corps éprouvés et de paysages à réinventer, de montage et de résistance aux flux. Sur le métier. La besogne des images.
Émission rendant compte de l'ouvrage : Par les temps qui courent de Marie Richeux sur France Culture cliquez ici
Léa Bismuth est autrice, critique d’art, et commissaire d’exposition. Elle collabore très régulièrement avec artpress depuis 2006, et a publié des textes dans de nombreux catalogues. Sa pratique de commissaire d’exposition mêle littérature et art contemporain, et explore les possibles d’une écriture de l’exposition, de l’essai au récit. C’est dans cette perspective qu’il faut appréhender le programme de recherche curatoriale qu’elle a initié : La Traversée des Inquiétudes (d’après Georges Bataille, de 2016 à 2019, à Labanque de Béthune). Elle a également été commissaire d’exposition pour Le BAL, Les Tanneries, Le Drawing Lab, Les Rencontres d’Arles, Le musée Delacroix, L’Association Man Ray… Elle se tourne de plus en plus vers l’objet-livre, menant à la parution de La Besogne des Images (2019, Editions Filigranes). Et prépare une thèse de doctorat depuis 2017 sur « le passage à l’acte de l’écrivain », à l’EHESS.
Avec le soutien de la Fondation Thalie
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Drawing in Practice
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Drawing in Practice
MeetingPoint #14
Drawing in Practice
Présentation du travail de Philippe Vandenberg par Johannes Muselaers.
Conférence à l'initiative de l'atelier de Peinture
Johannes Muselaers est titulaire d’une Maîtrise en histoire de l’art de l’Université catholique de Louvain. Spécialisé dans les domaines de l’iconologie, de l’herméneutique et historiographie, il a consacré sa thèse à l’émergence de la théorie picturale de Georges Didi-Huberman. Depuis 2017, il travaille pour le Philippe Vandenberg Foundation, où il est responsable des archives et de la recherche.
MeetingPoint #13
Postures et Impostures par Franck Apertet (les gens d’Uterpan)
Rencontre à l’initiative du CASO Performance et Art du corps
Franck Apertet, qui signe avec Annie Vigier sous le nom les gens d’Uterpan, évoquera durant cette rencontre plusieurs exemples de leur pratique artistique, qui questionne les normes et les conventions régissant l’exposition et le spectacle vivant.
https://www.lesgensduterpan.com
Franck Apertet est associé depuis 1994 avec Annie Vigier sous le générique les gens d’Uterpan. Les gens d’Uterpan constituent une œuvre critique à partir d’une pratique initiale de chorégraphes. Leur réflexion opère par le déplacement et la recontextualisation de procédés d’action ou de monstration propres au champ des arts plastiques et au spectacle vivant. Ils traitent chacune des étapes constituant la pratique de l’artiste et renvoient une responsabilité au visiteur, au commanditaire et à l’institution dans leur travail. Leurs pièces sont montrées dans des centres d’arts, des musées, des festivals ou biennales, des espaces théâtraux, et dans l’espace public.
Annie Vigier et Franck Apertet (les gens d’Uterpan) sont représentés par la galerie Salle Principale (Paris).
Meeting Point #11
Rencontre à l'initiative de l'atelier de Typographie
Benoît Bodhuin est graphiste, designer de caractères et enseignant. Un cursus indécis - mathématiques puis graphisme - une pratique affranchie et un intérêt pour la typographie le caractérisent. Curieux de tout, ses domaines de prédilection sont le dessin (et la customisation) de typographies et le graphisme.
David Bennewith est un designer graphique et chercheur de design né en Nouvelle-Zélande, basé à Amsterdam. Sous le nom de Colophon, il travaille sur des recherches et des projets de commande axés sur le dessin de caractère et la typographie. Il a fait des recherches approfondies sur la création de caractères néo-zélandais, en particulier sur le travail de Joseph Churchward, publiant une monographie sur lui en 2009. Entre 2013 et 2015 Bennewith était professeur dans le département Communication Design de la HfG Karlsruhe, et depuis 2015 il est responsable du département Design graphique à la Gerrit Rietveld Academie, Amsterdam.
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La Cambre s'anime
La Cambre s'anime
Projection des films réalisés par les étudiant.e.s de l'atelier de Cinéma d'animation.
Une dizaine d'étudiants de 1e et 2e années bachelors section Sculpture de La Cambre (Ecole nationale des arts visuels à Bruxelles - professeur : Johan Muyle) sont en résidence et atelier au Centre culturel depuis le 13 octobre. L'exposition de leurs travaux se tiendra du 19 au 24 octobre.
Les réalisations de l’étudiant(e) sont vidéographiques, sculpturales, de l’ordre de l’installation ou de la performance, et prennent la forme d’objets, d’assemblages, de dessins,... toutes formes reconnaissables comme appartenant aux pratiques contemporaines de l’art.
Vernissage le samedi 19 octobre de 15h à 20h et performance "Van Der Keuken" sur le kiosque à 16h. Possibilité de restauration au Bistro à partir de 18h.
Soirée ROCK Circus sous le chapiteau Decrollier à 20h.
PLAYGROUND
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PLAYGROUND
Première commande publique d'Édouard Pagant, diplômé 2018 de l'atelier d'Espace urbain.
Édouard Pagant (1987) a réalisé une intervention permanente sur l’ensemble des 1000 m2 de la cour de récréation de l'école communale « Les Rives du Hain » à Braine-le-Château. Cette commande publique a été conçue et réalisée sur base de nombreux échanges entre Édouard Pagant et la classe de cinquième dirigée par Aurélie Tamignau. Sur une période de deux ans, un processus avec ateliers participatifs a conduit à une réalisation intégrant le foisonnement d’idées portant sur trois ensembles : la végétation, deux modules de jeu et la peinture du sol. Cette démarche fortement contextuelle et ancrée dans la pédagogie, a fait appel à l’écoute, à l’observation, aux échanges, mais aussi au repérage, aux tests, et au dessin, pour arriver à la formulation claire d’un projet ancré dans la matière venant des élèves et traduite en réalités tangibles dont l’attrait visuel a plusieurs niveaux de lecture.
L'atelier de Gravure et Image imprimée aka Printmaking participe à l'Antwerp Academy Art Book Fair dans la section FUTURE.
C’est une première pour La Cambre qui présente, entre autres, les éditions des masters 2019: Abigaël Huyard, Charlène Mao (dont l’édition a été acquise par Les Amis de La Cambre), Sean Tay qui activera son édition/masque performative, et Marie Theurier.
Pour son 4e projet, le réseau ECART a consacré son expérience de travail collectif à la thématique Architectures céramiques, de la structure à l'ornement. Ce projet réalisé au Portugal en collaboration avec l'IPVC à Viana do Castelo, s'inspire parfois du patrimoine local, s'adaptant aux conditions de réalisation et aux contraintes de temps, en développant une réflexion autour de la question de l'architecture et de la céramique.
Le réseau ECART, pour European Ceramic Art & Research Team, rapproche cinq écoles supérieures d’art afin de réfléchir et de travailler autour de problématiques diverses questionnant la céramique comme médium, tant dans le champ de l’art que dans celui du design.
La Haute École d’Art et de Design – CERCCO, Genève,
L’École Nationale Supérieure des Arts Visuels de La Cambre, Bruxelles,
L’École Nationale Supérieure d’Art de Limoges,
L’École Supérieure dʼArts Plastiques de la Ville de Monaco – Le Pavillon Bosio,
L’École Nationale Supérieure d’Art de Nice – La Villa Arson.
Conférence à l'initiative du cours d'Illustration mené par Pascal Lemaître
Kianoush Ramezani, dessinateur de presse iranien, l'exil au nom de la liberté d’expression.
Artiste et militant Iranien, Kianoush Ramezani [KIANOUSH] vit et travaille en exil en tant que réfugié politique depuis 2009 à Paris. Ses dessins apparaissent régulièrement dans l’hebdomadaire Courrier International et d’autres médias nationaux et internationaux en France et d’autres pays tels que le Guardian, Le1, Arte, Iran Human Rights, La Croix etc. Il donne des conférences dans les centres culturels et éducatifs en France, en Europe et les autres pays du monde depuis 2010. Il a choisi Cartooning : l’art de danger pour son discours TEDx en 2014, quelques mois avant l’attaque terroriste contre Charlie Hebdo.
Kianoush est le président fondateur de United Sketches l’association internationale pour promouvoir la liberté d’expression et soutenir les caricaturistes en exil.
Il est l’auteur du livre Journal intime de la Terre, publié en 2018.
Belgium is Design a le plaisir de présenter TEXTILES REVEALED, une exposition qui réunit le travail de 11 designers textiles belges organisée en collaboration avec Lidewij Edelkoort et Philip Fimmano dans le cadre du festival New York Textile Month.
DESIGNERS
Alice Leens
BedrossianServaes
Chevalier Masson en collaboration avec Diane Steverlynck et Erwin de Muer
Christoph Hefti
Decluuz by Luc Druez
Geneviève Levivier
Krjst Studio
La connaissance des matières, la recherche, l'innovation, la technologie et les méthodes de production, sans parler de la conscience écologique, éthique et sociale, sont les thématiques abordées dans l'exposition TEXTILES REVEALED. Cette exposition rassemble d'imposantes installations, des meubles, des tapisseries et des tapis contemporains.
Comme l'explique Edelkoort : «L'exposition remet en question les idées préconçues sur les textiles traditionnels belges (souvent limités à l'héritage séculaire du lin) et déroule à la place un fil rouge passionnant entre les designers. Tuftage, feutrage, jacquard numérique et torsades ne sont que quelques-unes des techniques employées par une nouvelle génération qui redéfinit les limites de la créativité textile.»
Le New York Textile Month est la vitrine idéale pour une telle créativité. Qu'il s'agisse de pièces de collection uniques ou de travaux d'aménagement d'intérieurs, les textiles font partie intégrante du design belge contemporain.
Bien qu'exposant régulièrement lors de grands événements de design en Europe, TEXTILES REVEALED est la première présence de Belgium is Design aux États-Unis et la première fois que le label se concentre exclusivement sur le textile. L'événement offre une chance unique aux designers sélectionnés de rencontrer les architectes d'intérieurs, collectionneurs, et galeries les plus dynamiques d'Amérique.
Yoel Pytowski, ancien étudiant du cursus en Dessin, diplômé en 2012, a remporté le premier prix du concours Art Contest et Mostafa Saifi Rahmouni, diplômé 2016 du cursus Sculpture, a, quant à lui, gagné le troisième prix.
L’exposition des travaux des lauréats se tient à l’immeuble Vanderborght, 50 rue de l’Écuyer, 1000 Bruxelles, jusqu’au 11 octobre 2019.
Résidence Large Scale
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Résidence Large Scale
Gaëlle Leenhardt, diplômée 2012 de l'atelier de Sculpture, a été choisie à l’unanimité par un jury franco-américain comme lauréate de la première édition de la Résidence Large Scale, à Marfa / Texas, qui se déroulera d’octobre à décembre 2019.
Créée en 2019 par le service culturel de l’Ambassade de France à Houston et l’Association Fénelon Beaux-arts (Nantes-France), cette résidence artistique de deux mois axée sur la recherche et l’expérimentation offrira à Gaëlle Leenhardt un espace de travail pour développer de nouveaux projets et favoriser le développement de sa pratique artistique. Choisie parmi 61 candidatures par un jury franco-américain, l’artiste recevra une bourse de 6000 US$ et sera logée dans un espace de résidence et de création situé à Marfa.
La rentrée académique aura lieu le lundi 16 septembre.
11h00 — Accueil des nouveaux étudiants Master (Auditoire Stynen, 21 Abbaye de La Cambre)
12h30 — Rentrée académique 1re année : accueil à l'auditoire Stynen (21, Abbaye de la Cambre)
14h00 — Rentrée académique B2 > M2 (dans les ateliers)
16h00 — Accueil organisé par le Conseil des étudiants (Patio, 14 Abbaye de La Cambre)
18h00 — Rentrée académique de l'Atelier des écritures contemporaines (Bibliothèque, 21 Abbaye de La Cambre)
The aqueous environment and solvents for treatments on works of art on paper application to documents, ancien art and contemporary art by Paolo Cremonesi, Conservation Chemist and Letizia Satto, Conservator.
The ENSAV La Cambre invites Paolo Cremonesi, Conservation Chemist, and Letizia Satto, Paper Conservator, for a four-day intensive workshop addressing conservator-restorers and conservation scientists.
The purpose of this workshop is to acquaint participants with the formulation of aqueous and solvent mixtures for the treatment of artworks on paper.
Number of participants :
• Day 1 & 2 (lectures): maximum 120 participants - Open to all conservation professionals, all fields of specialization
• Day 3 & 4 (practical applications): maximum 20 participants – Priority is given to paper conservators
Registration fee (coffee, tea & lunch included) :
• 2 days Lectures (day 1 & 2): € 95 (student outside La Cambre : € 30)
• 4 days Lectures + Practical applications: € 650, including all materials & lunch
Target group : conservator-restorers and conservation scientists
Application requirements: basic notions of chemistry are recommended.
Priority will be given to Paper Conservators for the four-day workshop
Program :
First Day (4th November)
9:00 – 13:00 and 14:00-18:00, Lecture, Cremonesi
Properties and mode of action of water. The aqueous environment: pH, acids and bases, buffers. Ionization, dissociation and hydrolysis. Salts and solubility. Ion concentration, conductivity and related processes: ion diffusion and osmosis. Hypo-, iso- and hyper-tonicity of aqueous solutions. Auxiliary ‘active principles’: surfactants and chelators, classification and mode of action. Gelling materials: polysaccharide-based and polyacrylic acid derivatives. Thermo-reversible gelling materials. Classification and mode of action of hydrolytic enzymes.
Classification and properties of organic solvents. Volatility, diffusion and solving power. The issue of toxicity. The solubility parameters. A gradual approach to solubility of film-formers: the solubility test. Siloxanes in free and gelled form. Temporary hydrophobization of water-sensitive surfaces
Second Day (5th November)
9:00 – 13:00 and 14:00 – 18:00. Practical Session, Cremonesi.
Preparation of aqueous solution and solvent mixtures in free and gelled form. Measuring surface parameters (pH and conductivity).
Third Day (6th November)
9:00 – 13:00 and 14:00 – 18:00. Practical Session, Satto
Aqueous and solvent treatments on selected case studies.
Fourth Day (7th November)
9:00 – 13:00 and 14:00 – 18:00. Practical Session, Satto
Aqueous and solvent treatments on selected case studies.
Registration :
For the 2-day program (day 1 & 2):
Registration is compulsory and is only valid after receiving your payment.
Please use the registration form: Click here
For the 4-day program :
Please use the attached application form: Click here
Don't forget to specify : workshop Cremonesi 2 days + your name OR workshop Cremonesi 4 days + your name
ENSAV – La Cambre
Abbaye de La Cambre, 21
B – 1000 Bruxelles IBAN : BE67 0912 1205 7587
BIC : GKCCBEBB
>>> For the 4-days workshop <<<
The selection of the 20 professional participants will be made at the end of September.
Only application forms received before September 27th will be taken into account.
Notification will be done on the acceptation to the program end September.
Final registration will only be confirmed upon reception of the payment before October 15th.
If not accepted to the program, you will be automatically included on a waiting list and you can still participate to the 2-day program.
Contact :
Marie Postec, art restorer and head of program Fine Art Conservation at La Cambre
marie.postec@lacambre.be
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Les Yeux Rouges
Les Yeux Rouges
Exposition des professeurs de l'atelier de Photographie de La Cambre :
Hervé Charles, Hichem Dahes, David De Beyter, Lot Doms, Jean-Frédérique de Hasque, Marie Le Mounier, Lola Meotti, Paolo Pellizzari, Philippe Terrier-Hermann et Olivier Thieffry.
Brieuc Dufour en M1 de l'atelier de Gravure et image imprimée, a remporté le prix de l’image numérique décerné par le Centre de la Gravure et de l’image imprimée de La Louvière. Le thème du concours cette année était le transhumanisme.
Après Lyon et Strasbourg, Rennes accueille la troisième édition de la Biennale «Exemplaires», une manifestation imaginée par les équipes des départements Design graphique de treize écoles d’art et de design et université afin de mettre en lumière l’exemplarité de la production éditoriale francophone. Première édition pour l'atelier typographie de La Cambre.
Après un travail de recherche permettant de dégager une thématique singulière, chaque groupe a sélectionné un ensemble de six livres francophones «exemplaires», publiés durant les cinq dernières années. La notion d’exemplarité ne concerne pas uniquement l’apparence graphique des ouvrages, mais également le processus d’élaboration, l’inscription contemporaine et la relation entre forme et contenu. Une publication éditée par chaque école retrace le cheminement de chaque équipe.
Les ouvrages sélectionnés sont présentés dans une exposition articulant ces regards divers sur l’édition contemporaine. Un colloque au cours duquel neuf intervenant.es (graphistes, artistes, critiques d’art, commissaires d’exposition ou éditeurs) discutent de ces mêmes questions, en rapport avec les sélections et les thématiques retenues. Plusieurs expositions et événements parallèles, témoignant d’une scène rennaise particulièrement active, permettent d’élargir et d’ouvrir la réflexion autour des pratiques éditoriales.
La participation des masters de l'atelier de typographie de La Cambre se cristalise autour d'ouvrages de bande dessinée, prises sous l'angle de l'objet. Plus d'informations sur lacambretypo.be/exemplaires2019.
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Le bien, le mal et le très mal
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Le bien, le mal et le très mal
Exposition de Léa Belooussovitch, diplômée 2014 de l'atelier de Dessin, Maxence Mathieu, Mostafa Saifi Rahmouni, diplômés 2016 et Gabrielle Lerch, diplômée 2018 de l'atelier de Sculpure.
L’exposition interroge le rapport qu’entretient l’artiste entre la fiction et la réalité dans son travail. Le lieu d’exposition n’est plus un simple support pour l’art, mais se construit, bouleversé par les intentions plastiques qui décuplent son potentiel narratif, suggérant des réels différents, proche d’une atmosphère de studio de cinéma. Les propositions plastiques respectives s’approprient et transforment l’espace par le biais de la photographie, de la retouche photo, de la vidéo, de l’installation et de l’intervention in situ.
Exploration des modes d’édition du texte hors du livre.
Restitution du workshop de Fabrice Reymond avec l’Atelier des écritures contemporaines de La Cambre et les étudiants de l’école Nationale supérieure d’arts de Paris Cergy.
Fabrice Reymond est écrivain et artiste.
Il a co-dirigé Art conceptuel : une entologie en 2008. Il est l’auteur de Nescafer.dvd édité aux Laboratoires d’Aubervilliers en 2002, d’Anabase en 2009, de Canopée en 2012, de L’eau se rappelle la cascade en 2015 aux éditions Mix, et de A l’opéra derrière un poteau en 2015 chez post-éditions.Seul ou en collaboration il adapte régulièrement ses textes sous forme de film, de performance ou d’exposition.
fabrice.reymond.free.fr
À l'initiative du Bureau Commercial et du Tourisme du Pérou en Belgique et en collaboration avec La Cambre Mode/s/, MAD présente les "Alpaca Awards Brussels 2019".
Le concours récompensera un(e) étudiant(e) de 2e année de l'atelier de Stylisme et création de mode avec un voyage d'un 1 mois dans l’école de Chio Lecca près de Cusco pour comprendre, travailler et échanger avec les artisans locaux en plus d'une bourse de 1000€.
« Faut-il restituer aux pays d'origine les œuvres d’art acquises dans les colonies ? »
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« Faut-il restituer aux pays d'origine les œuvres d’art acquises dans les colonies ? »
Le Président français Emmanuel Macron a relancé la polémique au sujet de la restitution des œuvres d'art spoliées durant les colonies.
La restitution des œuvres d'art aux anciens pays colonisés ou celles qui ont été acquises de manière forte concerne tous les pays européens et de nombreux musées. En cas de retour total, certains grands musées pourraient fermer tout simplement leurs portes: exemple le Quai Branly-Jacques Chirac à Paris, le Musée Égyptologique de Turin, le Musée Royal d'Afrique Centrale à Bruxelles... D'autres devraient rendre de nombreuses pièces essentielles de leurs collections: Le Louvre avec la Venus de Milo ou la Victoire de Samothrace, le Neues Museum à Berlin avec la tête de Néfertiti, le British Museum et les frises du Panthéon ou la Pierre de Rosette....Sans oublier que de nombreuses collections privées seraient touchées.
Étienne Clément a été en charge de ce dossier à l'UNESCO et est donc l'un des meilleurs spécialistes du sujet au monde. Juriste de formation (ULB), il a dirigé l’Agence Asie-Pacifique de l’UNESCO en charge du patrimoine culturel. Il est également Professeur invité à l’Université de Lille 2.
Conférence à l'initiative de l'Association des Étudiants en Restauration d'Œuvres d'Art (A.E.R.O.A.).
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Karel Martens
Karel Martens
MeetingPoint #8
Conférence à l'initiative de l'atelier de Typographie
Karel Martens est un designer graphique, typographe et artiste néerlandais, développant depuis 1961 une pratique expérimentale et combinatoire de la matière imprimée. Son activité de designer indépendant inclut notamment le design collaboratif de la revue Oase. Il a reçu de nombreux prix au fil de sa carrière. Il est Co-fondateur du Werkplaats Typografie, Arnhem et enseigne à l’Université de Yale, New Haven.
Double Jeu
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Double Jeu
Les Manufactures Catry, spécialisées dans la fabrication de tapis tissés haut-de-gamme depuis 1912, proposent un savant mélange de tradition, d’artisanat et de fabrication industrielle française.
La dentelle Leavers, issue des transferts de connaissance et développements industriels du XIXème siècle subsiste aujourd’hui dans la région de Calais et Caudry, notamment à travers les productions de la manufacture Darquer.
Deux entreprises de Patrimoine vivant dont Stéphane Plassier est le Directeur Artistique, avec lesquelles des étudiants de l’École nationale supérieure des arts visuels de La Cambre ont collaboré.
Les étudiants de Design textile, mettant en jeu des protocoles de création et leur démarche expérimentale, ont investi la culture et les archives des Manufactures Catry pour aborder la formidable technique du tissage Jacquard Wilton.
Les étudiants de l'atelier de Stylisme et création de mode[s], à travers un singulier exercice de volume double, proposent une utilisation originale de la précieuse dentelle Leavers mise à leur disposition.
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Infime écart
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Infime écart
Le réseau ECART, pour European Ceramic Art & Research Team, rapproche cinq écoles supérieures d’art°, afin de réfléchir et de travailler autour de problématiques diverses questionnant la céramique comme médium, tant dans le champ de l’art que dans celui du design.
Le quatrième projet du réseau ECART intitulé Architectures céramiques, de la structure à l’ornement, a démarré par des rencontres et deux jours de conférences à la Villa Arson à Nice. Puis trois sessions de 1 semaine chacune, de visites et de travail ont eu lieu à Viana do Castelo au Portugal en décembre 2017, mars et avril 2018. Dans un souci historique lié à la tradition architecturale en céramique, nous avons établi une collaboration avec l’IPVC (Institut polytechnique) de Viana do Castelo. L'exposition "Infime écart" présente à la Casa Capela das Malheiras le travail réalisé collectivement par une trentaine d'étudiants provenant des différentes écoles.
°La Haute École d’Art et de Design – CERCCO, Genève,
L’École nationale supérieure des Arts visuels de La Cambre, Bruxelles,
L’École Nationale Supérieure d’Art de Limoges,
L’École Supérieure dʼArts Plastiques de la Ville de Monaco – Le Pavillon Bosio,
L’École Nationale Supérieure d’Art de Nice – La Villa Arson.
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Prix de la Gravure et de l'image imprimée — 27e édition
Prix de la Gravure et de l'image imprimée — 27e édition
Pauline Emond, diplômée 2018 de l'atelier de Gravure et image imprimée, a gagné le Prix de la Gravure 2018, décerné par le Centre de la Gravure et de l'image imprimée de La Louvière.
Les œuvres des artistes sélectionné.es par le jury international sont exposées au Centre de la Gravure à La Louvière jusqu'au 24 février 2019.
Prix de la Jeune Céramique 2018
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Prix de la Jeune Céramique 2018
Sixtine Jacquart reçoit le Prix de la jeune céramique 2018. Le Prix, soutenu par les Amis de Keramis, consiste en une résidence pendant l'été 2018 dans les ateliers du centre Keramis à La Louvière, suivi d'une exposition qui présentera le travail réalisé pendant la résidence.
Sixtine Jacquart, diplômée 2012 de l'Atelier Céramique