Les 21 & 22 juin de 12h à 16h, exposition des travaux de fin d’études de Louise Cauchy, Jana Di Leva, Inès Guillen Coste et Dieuwke Raymaekers.

Vernissage: vendredi 20 juin, de 18h à 21h.

L’Atelier Accessoires investit l’espace du MAD Brussels pour présenter les collections de ses Master.
Cette exposition se conçoit autant comme un moment de passage que comme un geste de dévoilement: celui de recherches, de formes et de matières patiemment élaborées. Chaque projet y développe une pensée de l’objet — porté, porteur, signifiant — en résonance avec les enjeux contemporains du corps, de l’image et du vêtement.
Entre rigueur du geste et liberté plastique, les propositions interrogent les frontières du fonctionnel, du symbolique et du sculptural. Ici, l’accessoire se fait langage.

Master 1
Martin Deman - Aria Lehovetzki De Runz - Simone Teseo

Master 2
Clément Benoît - Alyssa Cartaut - Romy Hanniquet - Florentin Mathon

Les Master 2 de l’Atelier de Communication visuelle et graphique vous invitent à découvrir leurs projets de fin d’études. Ce moment clé de leur parcours est l’aboutissement de deux années de recherche, d’expérimentation et de création.

À travers des approches variées, chaque artiste y expose sa vision, sa démarche et ses engagements, dans un dialogue exigeant entre design graphique, société et culture.

Mardi 17 juin, exposition des travaux de fin d’études de l'atelier Peinture.

Les ateliers Architecture d’intérieur et Typographie présentent "Sans obligation d'achat", exposition publique des projets de fin d’études.
À la croisée de l’espace, du langage et de la pensée critique, cette soirée promet des démarches singulières et engagées.

Au terme de deux années d’investigations chorégraphiques, les Master Danse et pratiques chorégraphiques vous convient à une présentation publique de leurs projets personnels.
Ce moment de partage révèle des parcours singuliers, des pensées incarnées et des formes chorégraphiques qui traduisent une relation approfondie au corps, au mouvement et aux résonances du monde — autant de démarches qui dessinent les contours de la création chorégraphique de demain.

Le 13 juin prochain, LaVallée accueillera la présentation publique des projets de fin d’études de l'atelier Scénographie.
L'occasion de découvrir la richesse et la pluralité des approches portées par la nouvelle génération de scénographes, et d’échanger autour de leurs univers créatifs et de leurs processus de conception.

Publics professionnels ou amateurs, fidèles ou insolites, adeptes des arts, vous êtes chaleureusement invités à venir rencontrer ces jeunes talents.

Le 13 juin, La Cambre Mode[s] dévoile son show 2025.
Sous les néons d’une scène devenue laboratoire, les Master de l’atelier Stylisme et création de mode de La Cambre révèlent des silhouettes inspirées, intimes et résolument innovantes.
Chaque passage est une narration, chaque création affirme une signature.

À suivre sur lacambremodes.be

L’exposition Between two points réunit les travaux des Master de l’atelier Photographie.

Pensée comme un espace de réflexion autant que de sensibilité, l’exposition met en lumière une pluralité de regards portés sur le médium photographique. Entre engagement critique, exploration poétique et expérimentations formelles, les œuvres présentées interrogent les contours de l’image et ses potentiels narratifs.

Ne manquez pas le vernissage des jurys Master des ateliers Espace urbain et Sculpture qui se tiendra le 12 juin dans les locaux de Citydev Brussels.

Les projets présentés sont l’aboutissement de deux années de recherche artistique et critique. Entre espace public, volume et installation, les étudiant·e·x·s explorent des formes et des démarches engagées, ancrées dans les enjeux contemporains de la création.

Les jurys 2025 se déroulent du 26 mai au 27 juin inclus.
Ouverts au public, ils permettent de découvrir le travail et les projets développés par les étudiant·e·x·s.

Le Graduation Show, exposition des projets de fin d’études des Masters, se tiendra du 18 au 28 septembre 2025, avec un vernissage le 18 septembre. Plus d'informations à venir...

L'ENSAV La Cambre recherche un·e responsable des systèmes d'information.
Retrouvez le descriptif du poste dans la fiche ci-jointe.

En partenariat avec Casino Luxembourg - Forum d'art contemporain / Casino Display, un nouveau post-Master européen sera proposé dès l'année académique 2025-2026. Ce programme est le fruit d’une collaboration entre quatre établissements supérieurs d’enseignement artistique issus de trois pays européens: L’École Nationale Supérieure d'Art et de Design de Nancy (ENSAD Nancy - FRANCE), l'ENSAV La Cambre (Bruxelles - BELGIQUE), La Haute École des Arts du Rhin (La HEAR - Strasbourg/Mulhouse - FRANCE) et la Royal Academy of Art (KABK - La Haye - PAYS-BAS).

Ce laboratoire de recherche artistique est un programme qui encourage la recherche artistique collective et transdisciplinaire dans un cadre expérimental et axé sur le processus. Il offre aux artistes-chercheur·euse·s émergent·e·s une plateforme pour explorer de nouvelles méthodologies, s'engager dans une recherche collaborative et repenser les notions traditionnelles de paternité de l'œuvre et de création de connaissances. Fonctionnant sur un mode para-académique et para-institutionnel, le laboratoire met l'accent sur la décélération, l'exploration ouverte et l'évolution des pratiques artistiques plutôt que sur la production d'œuvres finies. Tout au long d'une série de semaines de recherche, le programme apporte un soutien financier aux projets des participant·e·s, l'accès à des installations techniques et le soutien d'un réseau international.

Les participant·e·s répondent au thème conceptuel des "plis", abordé comme un outil permettant d'explorer la complexité, la relationnalité et le potentiel narratif dans la pratique artistique.

Retrouvez toutes les informations pratiques, y compris les modalités de candidature, dans le document ci-joint (en anglais) et sur le site du Casino Luxembourg.

Considérant que l’article 3§3bis de la loi du 29 mai 1959 modifiant certaines dispositions de la législation de l’enseignement dispose, en son alinéa 5 que : « Chaque établissement peut autoriser l’usage de ses locaux par des associations non commerciales, en particulier culturelles ou sportives, pour autant que l’usage que celles-ci en font ne nuise ni à la bonne organisation, ni au renom, ni à la neutralité, ni aux intérêts matériels de l’établissement »,

 Considérant qu’un projet de rénovation des bâtiments de l’Abbaye est en cours et qu’un programme d’occupation des bâtiments avant travaux est développé afin d’en assurer l’entretien et la conservation,

 L’ENSAV – La Cambre recherche un partenaire qui occupe les locaux (bâtiment H) de la cour d’honneur de l’Abbaye de La Cambre à Bruxelles dans le cadre d’une occupation temporaire (pour une durée de 2 ans), afin d’y organiser une résidence d’artiste.

(+ d'infos dans l'appel ci-joint)

Projection du documentaire Fuga
Dans le cadre du cycle "Territoires subjectifs"
(En présence des réalisatrices)

Au sein de la forêt amazonienne péruvienne, marquée par les violences des groupes terroristes et les persécutions homophobes des années 1980 et 1990, Fuga suit le chemin de Saor, qui accompagne le corps de celle qui fut son amour.

Cette seconde séance s’inscrit dans le cycle de rencontres "Territoires subjectifs". À partir d’un film, il s'agit d'explorer la manière dont le rapport au territoire se construit et se déconstruit, en croisant représentations et imaginaires. Parcourir ces territoires – qu’ils soient géographiques ou corporels, et toujours traversés par des enjeux politiques – permet d’offrir un espace de reconnaissance à des voix et des récits souvent invisibilisés.

Conférence réunissant le Professeur Louis Moneger, membre de la SRABE (Société Royale d’Apiculture de Bruxelles et de ses Environs) et Thomas Vancraeynest, enseignant de l’atelier Design Industriel. Une réflexion engagée sur les dangers du frelon asiatique pour les abeilles. L’événement mettra en lumière des solutions innovantes imaginées par les étudiant·e·x·s de La Cambre, appelant à une mobilisation citoyenne pour préserver la biodiversité.

Entrée gratuite sur inscription

Laurence Rosier est linguiste, professeure à l’ULB et spécialiste des violences verbales. Commissaire d’exposition, co-autrice et coordinatrice de nombreuses publications, elle est l’autrice du «Petit traité de l’insulte» (2006, réédité et augmenté en 2009), «De l’insulte… aux femmes» (2017), «Cohabitante l’égale» (2023) et, en ce début d’année 2025, «La riposte. Femmes, discours et violences», qui pose la parole des femmes comme acte de résistance.

"De quoi le curating est-il le nom? Métamorphoses d'une pratique dans le champ d'exposition" paraît aux éditions La Lettre volée. Ce nouvel essai de Julie Bawin est le fruit d'une réflexion sur l'exposition et ses acteurs, sur le musée et le rôle qu'y jouent notamment les artistes les artistes et, enfin, sur la façon dont se renouvelle sans cesse l'offre curatoriale.

Le mot "curating" est, depuis une quinzaine d’années, un mot de code particulièrement en vogue dans l’univers des expositions d’art contemporain, mais à quelles pratiques se rapporte-t-il exactement et pour quelle raison cet anglicisme a-t-il fini par supplanter, dans la langue française, le terme "commissariat" ? Répondre à ces questions ne revient pas seulement à mettre en lumière le rôle que les artistes, conservateurs de musée, auteurs et "faiseurs" d’expositions ont joué, dès les années 1960-1970, dans le renouveau apporté au champ de l’exposition. L’idée sur laquelle repose cet ouvrage est que le curating, loin d’être un phénomène récent, se rapporte à des (r)évolutions plus anciennes et successives, tant dans le domaine de l’accrochage et de la scénographie que dans la sphère professionnelle et institutionnelle au sein de laquelle évoluent les organisateurs d’exposition. Aussi verra-t-on que, depuis le milieu du XIXe siècle, l’activité curatoriale est passée entre les mains de protagonistes toujours plus nombreux et qu’elle oscille désormais entre une hyper-professionnalisation et une déprofessionnalisation toujours plus tangible. Il semblerait en effet que de nos jours, le métier – reconnu comme tel – soit à la portée de tout un chacun, et en particulier à ceux que l’autrice appelle les "curateurs outsiders".

La Cambre participe à la 3e édition du festival du dessin qui se tient à Arles du 12 avril au 11 mai 2025. Une sélection d’œuvres de l'atelier Dessin est programmée dans le cadre de l'exposition "La jeune garde à l'honneur".

A l'occasion de Chaire à vif 2024-2025 consacrée à "L'Art et l'argent", La Cambre s’associe au Groupe de Recherche en Sciences des Arts et de la Culture (GRESAC) de l’ULB et poursuit ses réflexions autour des notions de marché, de valeur et d’investissement dans le monde de l’art et de la création.

Entre l’acte de création détaché de toute contrainte et l’objet d’art conçu comme produit d’investissement financier, de nombreuses zones d’intersection et de nuances progressives se déclinent, autant dans l’histoire que dans le contexte contemporain.
Les relations complexes entre l’art, pôle supposé pur, et l’argent, pôle supposé impur, sont faites de mille facettes qui constituent encore souvent un angle mort dans le contexte des écoles d’art.
Or les questions de valeur, de commercialisation, d’assurance et tout simplement de prix occupent les esprits dès que la création devient métier et que la structuration professionnelle est posée comme un enjeu nécessaire aux étudiant·e·x·s et jeunes alumni.

Mercredi 9 avril 2025
Les questions de valeur en art
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Nathalie Moureau, en dialogue avec Anne-Sophie Radermecker
Quelles sont les multiples valeurs qui composent une œuvre d’art ? Comment s’opèrent les mécanismes de co-création de valeur entre les acteurs du monde de l’art, et qui, au final, décide du prix ? La valeur artistique d’une œuvre se reflète-t-elle nécessairement sa valeur marchande, et vice-versa ? En partant du désormais célèbre Comedian, banane scotchée sur un mur de l’artiste Maurizio Cattelan et vendue pour 120 000 dollars à la foire Art Basel de Miami en 2019, Nathalie Moureau (Université Paul-Valéry-Montpellier) et Anne-Sophie Radermecker (ULB) échangent sur les stratégies de distinction et de légitimité dans le milieu de l’art contemporain. En partant de cette étude de cas polémique, elles "épluchent" également les mécanismes de formation du prix des œuvres, en élargissant leur réflexion à d’autres catégories de productions artistiques, afin de mieux comprendre les motivations et la propension à payer des acheteurs pour certaines caractéristiques.