Restitution des ateliers 2022 et vente des productions tissées, de TERRITOIRES TISSÉS.
vendredi 9 décembre de 16h à 20h
samedi 10 décembre de 10h à 18h
Collaboration entre l'AVPTTA, Association pour la valorisation et la promotion du tissage traditionnel d'Abomey, les ateliers de Design textile, Design industriel et Architecture d'intérieur de La Cambre, Bruxelles et l'EPA, École du Patrimoine africain, Porto-Novo.
Territoires tissés est un laboratoire collaboratif et transdisciplinaire investissant les valeurs culturelles, techniques, patrimoniales et créatives véhiculées par la production du textile. En interrogeant ensemble l'écosystème des ateliers de tissage du Palais du Roi Agonglo à Abomey, le projet envisage la création et l’artisanat comme un levier de rencontres, d’apprentissages et d’émancipation pour tous les participant·e·s.
Territoires tissés se déroule sur une durée de 5 ans ( 2019-2023), financé par Wallonie Bruxelles International, avec le soutien de l’Académie de recherche et d’enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
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Fixer l’archipel
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Fixer l’archipel
Colloque porté par Philippe Terrier-Hermann, artiste enseignant chercheur et responsable du pôle de recherche Contrat Social et l’Institut Supérieur des Beaux-Arts de Besançon au Frac et professeur Master à l'atelier de Photographie à La Cambre.
Hervé Charles, responsable de l'atelier de Photographie, en compagnie de Barbara Felgenhauer et Camille Poitevin présenteront le film Au-dessus des os réalisé à Hydra par le groupe de recherche et les diplômé.es du Master en 2022.
Le programme de recherche « Fixer l’archipel » est né en 2017 d’une volonté de proposer diverses méthodologies de travail à partir de l’espace insulaire méditerranéen, en considérant ce dernier comme un point de départ, mais surtout comme un point de vue spécifique pour développer une pensée géographique et métaphorique sur les positions des artistes, des citoyens, dans la société. La Méditerranée, mare medi terra en latin, signifie littéralement, la « mer au milieu des terres ».
MEETING POINT #29
Cours ouvert proposé par Bruno Tackels
Trace et aura. La trace est l’apparition d’une proximité, quelque lointain que puisse être ce qui l’a laissée. L’aura est l’apparition d’un lointain, quelque proche que puisse être ce qui l’évoque. Avec la trace nous nous emparons de la chose ; avec l’aura, c’est elle qui se rend maîtresse de nous.
Walter Benjamin, Le Livre des Passages.
Walter Benjamin n’a cessé de dépasser les limites, de traverser les frontières, de transgresser la règle des disciplines. Voyageur et fouineur il s’intéressait à tout : les jouets et les marionnettes en bois mais aussi les premières expériences de la télévision publique, la mode et les vitrines de magasins mais aussi la Comédie-Française, les contes pour enfants mais aussi la traduction de Proust en allemand, la peinture de Klee, qui le fera penser jusqu’à sa mort, mais aussi les conférences qu’il donnait à la radio qui venait de s’inventer, le théâtre de Meyerhold, mais aussi celui d’Asja Lacis avec les enfants des rues, les photographies d’Atget mais aussi les romans policiers, le théâtre baroque du XVIIème mais aussi Charlie Chaplin, le dadaïsme mais aussi le chemin de fer, le surréalisme d’Aragon mais aussi les sauts de Mickey Mouse.
Faisant fi des catégories et des disciplines, Benjamin sera toute sa vie un spectateur curieux de tout : un critique de théâtre assidu, assistant en direct à la naissance du théâtre de Brecht, tout en ne cessant de penser ce que fait la photographie au monde moderne, d’interroger le cinéma naissant et de se prêter à des expériences théorico-pratiques dans le medium de la radio. L’intuition directrice de sa pensée est que toute forme d’art est un dispositif qui se débat avec la reproduction : la trace ou l’aura. Ou l’aura de la trace, et la trace de l’aura.
Bruno Tackels,
Tinjaca, Colombie, septembre 2022
Bruno Tackels. Walter Benjamin à l’ère du monde digital, paru en octobre 2022 chez Kimé, collection « Philosophie en cours ».
Bruno Tackels. Les mille plateaux de Walter Benjamin, à paraître aux Solitaire intempestifs, été 2023.
Bruno Tackels est essayiste et dramaturge. Agrégé et docteur en philosophie, il a enseigné l’esthétique et l’histoire du théâtre contemporain à l’université Rennes 2, à l’École régionale d’acteurs de Cannes, ainsi qu’à l’École des arts décoratifs de Strasbourg.
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Art et Eau
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Art et Eau
MEETING POINT #28
Louis Couturier & Jacky Georges Lafargue
proposé par l'atelier d'Espace urbain.
La conférence présentera La vie de l’eau à Bruxelles exposé actuellement à l’Espace Urbain ainsi que des projets couvrant la période de 2014 à 2022. Touchants eux aussi au thème de l’eau, dont plusieurs sont conçus pour l’espace publique.
Louis Couturier et Jacky Georges Lafargue travaillent ensemble depuis 1991. À ce jour, ils comptent plus de quarante expositions solos réparties entre le Canada, les États-Unis et l’Europe.
Formé à l’UQAM et à l’École Nationale des Beaux-Arts de Lyon, ce duo franco-canadien aux personnalités distinctes réalisent des projets qui engagent des communautés et /ou explorent des lieux hors normes. Leur pratique consiste à regarder le monde, le vivre et s’y frotter pour en capter et restituer des parties de son essence et de sa complexité.
La nature des réalités abordées par le duo est variée. Cela va du Nunavut à l’île de la Réunion, en passant par la mine d’amiante d’Asbestos, la Baie James, Saint-Pierre-et-Miquelon ou encore plus récemment la frontière Manitoba/ Etats-Unis, les paysages australiens et les communautés mohawks de Kahnawake, Akwesasne, et Six Nations.
Leur travail a été vu dans des institutions telles le Musée d’art contemporain de Montréal, la galerie de l’UQAM, le Musée des beaux-arts de Montréal, le Musée national des beaux-arts du Québec, le Musée de Picardie (France) et le Centre Culturel Canadien à Paris.
Photo Bouger la mémoire, Louis Couturier & Jacky Georges Lafargue, 2019
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WOLLEKE
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WOLLEKE
WOLLEKE
conçu et prototypé en 2021 pour la Ville de Bruxelles, par Magoux Baeyens, Robin Boddez, Leonore Durand, Audrey Fontenoy, Gilles Rémy. Avec la collaboration de B&T Textilia.
Produit cet automne en 600 exemplaires par la Ville de Bruxelles, en partenariat avec l'asbl Les Petits Riens et l'ETA L'Ouvroir.
En 2020-21, les étudiant.es Master 1 en Design textile et Design industriel ont travaillé pour la Cellule Climat de la Ville de Bruxelles, à la conception d'alternatives aux chaufferettes pour les terrasses de l'HORECA. Wolleke est le projet sélectionné par la Ville parmi les six propositions des étudiant.es.
Résolument bruxellois, Wolleke est un objet à usage individuel, qui combine plaid et tote-bag, pour une pause en terrasse lors des trajets en ville.
Photos : Henri Doyen
Comment créer une culture de studio ? par Thierry Brunfaut
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Comment créer une culture de studio ? par Thierry Brunfaut
MEETING POINT #27
Conférence proposée par l'atelier de Communication visuelle et graphique
Thierry Brunfaut est graphiste, il a donc appris le graphisme. Thierry est également entrepreneur. Cependant, il ne connaissait rien à la gestion du personnel ou aux ressources humaines. Donc, avec ses partenaires, il a fait TOUTES les erreurs imaginables que l'on peut faire lorsqu’on dirige une entreprise créative. Jusqu'au jour où ils ont décidé de repenser Base, leur propre entreprise.
Thierry partagera ce parcours avec les équipes de Base, comment ils ont changé et mis en place de nouveaux processus et rituels tout en maintenant une inspiration personnelle et une créativité dans leurs quatre studios à Bruxelles, New York, Genève et Melbourne. En outre, il nous donnera également un ou deux conseils simples mais efficaces ...
Thierry Brunfaut est directeur créatif et l'un des partenaires fondateurs de Base Design, le réseau international de studios de branding basé à Bruxelles, New York, Genève, et Melbourne. Il est l'auteur de la célèbre série d'affiches 5 minutes, professeur, et intervient régulièrement dans des conférences sur le design et la stratégie de marque dans le monde entier. Thierry ressemble de façon frappante et apparemment contradictoire à Moby et à Kermit la grenouille.
Instagram & Twitter
@thierrybrunfaut
@base_design
Base Design est un réseau international de studios qui crée des marques ayant un impact culturel.
Fondée au début des années 90, l'entreprise n'a cessé d'évoluer au fil des ans. Aujourd'hui, elle est dirigée par des partenaires issus des quatre studios. Parmi ses clients figurent Apple, le New York Times, l'Institut Français de la Mode, la Fondation Cartier, Studio Brussel, MoMA, le Bob Dylan Center, la Galerie Dior, l'Opéra de La Monnaie, l'IFAW, The Prince Estate, Orior, Bozar, NY Mets, Caran d'Ache, Caudalie, le Terminal 4 de JFK, et bien d'autres encore.
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Sara De Bondt
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Sara De Bondt
MEETING POINT #26
Off the Grid, Histories of Belgian graphic design
La graphiste Sara de Bondt dans le cadre du module interdisiciplinaire ‘rencontres d’archives’ présentera sa recherche sur l’histoire du design graphique en Belgique, tout particulièrement des années 60 et 70, et son importance dans un contexte international.
Le livre Off the Grid, publié en 2022 par Occasional Papers, édité par Sara de Bondt, offre un panorama collaboratif de l’histoire du design graphique belge à partir d’une multiplicité de perspectives. Il regroupe des essais sur le dessin de caractères, la colonisation, et les rapports professionnels, entre d’autres sujets. Les contributions sont écrites par des historien.ne.s, des designers, des enseignant.e.s et également des témoignages de première main. Le livre est accompagné de nombreuses illustrations non-publiées: posters, signalisations, typographie, livres, logos, et images d’archives.
Sara De Bondt a commissionnée l’exposition Off the Grid, Le graphisme belge des années 1960 et 1970 au Design Museum Gent en 2019, présentant une large sélection d’imprimés, logos, livres, affiches, dont la plupart n’avaient jamais été exposé auparavant, par des designers tel que Paul Ibou, Corneille Hannoset, Boudewijn Delaere, Sofie Alouf, Rob Buytaert, Herman Lampaert, et Jeanine Behaeghel. Sara De Bondt répond à partir de sa propre pratique et étudie comment nous pouvons mieux comprendre les aspects contemporains du design graphique dans une perspective historique.
Sara De Bondt est une designer graphique qui publie, recherche et enseigne. Son travail est typographique et motivé par le contenu. Elle travaille souvent avec des artistes, récemment avec Benedict Drew, Rosalind Nashashibi, et Jessica Stockholder.
Depuis 2008, Sara De Bondt a co-fondé la maison d’édition à but non-lucratif d’art et de design Occasional Papers. Elle a été commissaire de plusieurs expositions, la plus récente étant Off the Grid au Design Museum Gent en 2019.
Depuis 2017, elle est membre de l’Alliance Graphique Internationale. Elle intervient également à des conférences sur le design à travers le monde. Sara De Bondt a enseigné dans de nombreuses écoles d’art, notamment au Central Saint Martins et au Royal College of Art London, et est actuellement conférencière au KASK School of Arts à Gand, où elle termine ses études de doctorat.
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CARE et photographie
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CARE et photographie
MEETING POINT #25
L’atelier de photographie présente une soirée autour des notions de
CARE et photographie
18H - Nicolas Andry
Pour des raisons écologiques mais aussi pour s’autonomiser dans la fabrication et l’usage des produits, le photographe Nicolas Andry s’est lancé dans des recherches sur les produits alternatifs naturels de développement de films et d’images argentiques. Il viendra partager avec nous ses résultats, la philosophie de son projet et son processus de travail.
19H MOSS collectif Que peut une image ? Esthétique de la réparation
Les images peuvent être porteuses de différentes formes de violences réelles ou symboliques, mais elles sont aussi des interfaces de réparation individuelle ou collective. Que ce soit à travers un processus de transmission mémorielle, pour réparer l’invisibilisation d’une culture, ou au contraire une tentative d’oubli individuel ou collectif, la dimension curative inhérente à certains gestes plastiques dans les pratiques artistiques peuvent agir comme outils de résistance.
Moss collectif est un collectif curatorial transfrontalier basé à Gand (B), lauréat de la bourse de recherche de l’Institut pour la Photographie (Lille), fondé par Anna Stoppa, Lotte Egtberts, Elisa Maupas et Lucie Ménard.
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Brenda Bikoko
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Brenda Bikoko
MEETING POINT #24
Performance art at the intersections with identity
After precising concepts of performance art, intersectionality, and identity, Brenda Bikoko will look at four different “cases” where these concepts are at work: the works of Adrian Piper; “Arctic Hysteria” by Pia Arke; performances about violence on women in Latin America; and finally Black Performance in Contemporary Art.
Brenda Bikoko is a PhD student at the VUB. She investigates the re-appropriation of the colonial photographic archive in contemporary art with an intersectional approach. The artists she focuses on are women who are connected to Europe in one way or another. She is involved in ‘Troubled Archives’, a collective of artists and researchers who critically engages with – colonial – archiving practises, including in relation to contemporary surveillance techniques such as facial recognition software. For them, it is important to find a place of dignity from which to confront the violence and indifference towards photographs in colonial archives.
In the framework of “Performing Identity. Performance Art Facing Contemporary Societal Challenges”, an Erasmus+ partnership cooperation project supported by the European Union.
Performing Identity is a nomadic programme of learning and practice in Performance Art taking place over two academic years (22-23 and 23-24). 4 Art schools/universities are project partners : ENSAV - La Cambre and ESA Le 75 in Brussels (BE), UAP in Poznan (PL), Burren College of Art in the West of Ireland (IE), and three festivals : Verão Azul in Lagos (PT), New Performance Turku in Turku (FI) and (Pas si) Fragile ! in Brussels (BE).
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Séance de rentrée académique 2022
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Séance de rentrée académique 2022
Accueil et mots de rentrée de Benoît Hennaut, directeur de La Cambre
suivis d'une conférence de Yves Citton & Gregory Chatonsky Configurateur.ices de mondes : arts, techniques, Terres
Yves Citton (1962) est professeur de littérature et médias à l'Université Paris 8 Vincennes-Saint Denis et directeur exécutif de l'École Universitaire de Recheche ArTeC. Il a enseigné pendant 13 ans à l'Université Grenoble Alpes et pendant 12 ans au département de français et d'italien de l'Université de Pittsburgh, PA. Il a obtenu son doctorat à l'Université de Genève, en Suisse, et a été professeur invité à l'Université de New York, à Harvard et à Sciences-Po Paris.
Gregory Chatonsky (1971) est un artiste franco-canadien. Depuis le milieu des années 90, Grégory Chatonsky travaille sur le Web et principalement sur son affectivité le menant à questionner l’identité et les nouvelles narrations qui émergent du réseau.
À partir de 2001, il a commencé une longue série sur la dislocation, l’esthétique les ruines et l’extinction comme phénomène artificiel et naturel.
Au fil des années, il s’est tourné vers la capacité des machines à produire de façon quasi autonome des résultats qui ressemblent à une création humaine.
Ces problématiques sont devenues convergentes grâce à l’”imagination artificielle” qui utilise les données accumulées sur le Web comme matériau d’apprentissage afin de produire une ressemblance. Dans le contexte d’une extinction probable de l’espèce humaine, le réseau apparait comme une tentative désespérée pour créer un monument par anticipation qui continuerait après notre disparition.
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Performer l’identité – L'art performance face aux enjeux de société contemporains
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Performer l’identité – L'art performance face aux enjeux de société contemporains
La Cambre est heureuse d’annoncer que les deux prochaines années académiques verront le développement du projet «Performer l’identité – L'art performance face aux enjeux de société contemporains", soutenu par Erasmus+, et unissant l'ENSAV - La Cambre (coordination, Brussels, BE), l’UAP à Poznan (PL), le Burren College of Art (IE), l'ESA Le 75 (BE), le Festival Verão Azul (Lagos, PT), la biennale New Performance Turku (FI) et le Studio Thor (BE).
Quatre écoles d'art et trois festivals dans cinq pays s'unissent pour offrir un enseignement nomade de l’art performance, exploration emmenée par un groupe pilote d’une vingtaine d'apprenants et enseignants. Leur parcours prend pour fil la question de l'identité – envisagée successivement de manière intersectionnelle, dans sa relation avec le collectif, en rapport avec l'environnement naturel, et confrontée à la censure. En chemin est créée une archive vivante, qui témoigne de l’expérience.
Projet soutenu par le programme de partenariats de coopération Erasmus+.
À l’occasion de la proclamation des étudiant·es de Master du 29 juin, huit prix ont été remis à 13 étudiant·es pour distinguer l'excellence et la qualité de leur travail de fin d’études.
— Prix des Amis de La Cambre
9 nominé·es dont 3 prix Coup de cœur
Juliette Amigues (Design du livre)
Nina Koopmans (Gravure)
Charlotte Quinonero (Dessin)
Franscesco Battistello (Peinture)
Corention de Bellefroid (Design industriel)
Béatrice Guilleman (Céramique)
Barbara Leclercq (Dessin)
Adèle Goardet (Textes et création littéraire)
Kamand Razavi (Photographie)
— Prix SAFFCA
( Southern African Foundation For Contemporary Art)
Lucine Letassey (Photographie)
— Prix Fondation CAB
Agathe Bertin (Céramique)
— Prix MAD Graduation
Helen Van De Vloet (Design textile)
Maxime Trassebot (Design industriel)
Florent Seligmann (Stylisme et création de mode)
— Prix « Fil fou » Jean-Louis Dupont
Manuel Leromain (Design textile)
— Prix Servix
Camille Poitevin (Photographie)
— Prix du Fonds Roger De Conynck
Anna Touré et Kamand Razavi (Photographie)
— Prix Fondation Boghossian
Barbara Felgenhauer (Photographie)
Lucyle Massu (Communication visuelle et graphique)
Benoît Hennaut, directeur, Kevin Saladé, directeur adjoint, ainsi que toustes les enseignant·es et le personnel administratif et ouvrier de La Cambre, adressent leurs remerciements à tous les partenaires et félicitent toustes les étudiant·es diplômé·es et plus particulièrement les lauréat·es.
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La Cambre — Graduation Show 2022
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La Cambre — Graduation Show 2022
Exposition des projets de fin d'études des étudiant.es de Master 2022 de La Cambre.
(PAS SI) FRAGILE ! The Next Performance Art Generation
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(PAS SI) FRAGILE ! The Next Performance Art Generation
(Pas si) Fragile !, the next performance art generation, la biennale qui met en lumière de jeunes artistes impliqué·es dans l'art de la performance, est reconduite à l'automne 2022, cette fois dans une forme particulière, en invitant :
Trois artistes majeures à l'international de l'art performance :
Esther Ferrer (ES/FR), Vivian Chinasa Ezhuga (NG/UK) et Kubra Khademi (AF/FR)
Celles-ci présenteront leurs pratiques lors d'une rencontre publique, performeront des pièces personnelles, développeront un mentorat auprès d'une dizaine de jeunes artistes sélectionné·es, et donneront des ateliers.
Depuis plusieurs années, des écoles d’arts visuels en Belgique francophone consacrent une partie de leur cursus à l’art performance, répondant ainsi à la dynamique nouvelle de ces pratiques dans le champ artistique professionnel. On voit ainsi apparaître de nouvelles générations d’artistes investissant les scènes belges et internationales de la performance avec des oeuvres individuelles ou collectives, multipliant les collaborations…
Ils et elles ne font pas de la performance comme le faisaient leurs aîné·es, ils et elles inventent d’autres
formes, qui cherchent de nouveaux espaces de monstration.
Commissariat : Lucille Calmel & Antoine Pickels. (Pas si) Fragile! 2022 est un projet porté par l’ENSAV-La Cambre, en partenariat avec l’erg et en coréalisation avec le Studio Thor. Grâce aux suggestions de Le 75, ARBA/ESA (ISAC), Arts², Beaux-Arts de Liège, Académie Beaux-Arts Tournai. En collaboration avec KANAL-Centre Pompidou et le Centre Wallonie-Bruxelles (Paris). Avec l’aide du FiPA-ESA (Financement de projets artistiques dans les écoles supérieures des arts) du Ministère de l’Enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles, et le soutien de l’Ambassade d’Espagne en Belgique.
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Paliers Plateaux
Paliers Plateaux
Exposition de fin d'études des étudiant.es de Master de l'atelier de Céramique.
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F(R)ICTIONS
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F(R)ICTIONS
Exposition de fin d'année et de fin d'études des étudiant·es de Photographie et de Sculpture.
Une école d’art - et a fortiori un atelier - est un espace protégé d’expérimentation de soi qui offre les opportunités de développement de sa créativité, de ses obsessions et des questions à la fois individuelles et collectives qui animent les étudiant·es.
Bien que les deux cursus de Photographie et Sculpture soient distincts au sein de l’école par leur «appartenance» spécifique à un médium, des connivences propres au champ de l’art contemporain opèrent dans les deux ateliers autour des notions de point de vue et d’image, de spatialisation ou de lecture critique du monde. Ces ateliers souhaitent également renouer avec une pratique de réflexion mutualisée, unis par une même conviction de développer des projets d’expositions dans un contexte professionnel ayant pour ambition l’exigence et le détail.
Le BPS22 offre donc à la fois un terrain de jeu pour ces étudiant.es et une vitrine pour leurs travaux artistiques. L’accueil de ce projet au sein d’un centre d’art à la réputation internationale est à la fois une opportunité formatrice et symbolique. Formatrice car il s’agit d’une rencontre entre des étudiant.es et une équipe, un lieu connu pour ses collaborations avec des artistes confirmés. Symbolique car une exposition hors école est un tremplin pour ces futurs professionnels du milieu de l’art. Animé par les mêmes objectifs, soucieux de rendre le musée accessible à tous les publics, le BPS22 accueille au même titre et avec le même engagement les étudiants en art que les artistes reconnus.
Devenir artiste, c’est plonger dans un nouveau territoire; c’est s’adresser à l’autre et tendre à l’universel à partir de préoccupations personnelles; le BPS22 et les équipes pédagogiques de Photographie et de Sculpture de La Cambre s’unissent pour faire de l’exposition F(r)ictions le porte-voix de ces jeunes générations d’artistes.
Aliki Christoforou Constantara, Barbara Felgenhauer, Maëlle Helias, Romane Iskaria, Mishio Jacques, Maud Langlais, Lucine Letassey, Laure Lhoas, Camille Poitevin, Kamand Razavi, Anna Touré y présentent leurs travaux de fin d’études.
Lucille Briffaud, Théo Desmaizières, François Jacquemin, Asma Laajimi, Madeleine Petit, Camille Peyre, Rishi Singh, Valentine Vadella y présentent leurs travaux de Master 1.
Sculpture (Johan Muyle, Nancy Casielles, Sofia Dati, Virginie Devillers, Geoffroy Devolder, Aurélien Imbert, Philippe Ledocte, Anne-Cécile Maréchal, Maxence Mathieu):
Sophia Dieckschaefer, Lucas Mesdom, Flavia Parone y présentent leurs travaux de fin d’études.
Laurent Deffes, Flavie Houx, Kimia Nasirian, Loona Petrucci, Olivia Perce, Pernilla Roos y présentent leurs travaux de Master 1.
Justine Salamin, Valentine Jolibois, Zélie Boggio-Simon y présentent leurs travaux de Master en 3 ans et d’Erasmus,
Galatée Deschamps, Tom Forrest, Léo Marybrasse y présentent leurs travaux de fin de cycle de Bachelier 3.
Harriet Bénard, Blanca Castro Xiques, Elliott Schott, Tekla Subrizi y présentent leurs travaux de Bachelier 2,
Eve Gonzalez, Khorshyd Khajooyee y présentent leurs travaux de Bachelier 1.
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Jurys de fin d'année et d'études
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Jurys de fin d'année et d'études
Les jurys de fin d'année et d études se dérouleront du 23 mai au 27 juin 2022.
Voir programme en annexe.
Le Graduation Show, exposition des projets de fin d'études des étudiant.e.s de Master, sera du 25 juin au 1er juillet 2022.
Informations à venir.
Labo_Demo : Entaille dans la création littéraire contemporaine émergente
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Labo_Demo : Entaille dans la création littéraire contemporaine émergente
12 performances éclectiques portées par les étudiant.es des formations supérieures en écritures de Belgique et de France.
Rassemblées à l’initiative du Centre, les formations supérieures en écritures de Belgique et de France - l’université Paris 8 - l’École Nationale Supérieure des Arts Visuels de La Cambre et Cergy Paris Université / ENSAPC - s’associent pour cette troisième édition du LABO_DÉMO.
15 auteur.ices issu.es de ces formations ont ainsi été sélectionné.es pour participer au labo :
Solos : Selima Atallah Chettaoui, Mathis Berchery, Camille Bleker, Louise de Bastier, Eli Desnot Marsan, Yasmine El Amri, Robin Faymonville, Adèle Goardet, Bastien Hauser, Esther Teillard, Hélène Yamba Guimbi.
Initiés en 2019, les « LABO_DEMO » du Centre Wallonie-Bruxelles | Paris, sont des dispositifs dédiés à valoriser la création contemporaine émergente – en arts visuels & en littératures contemporaines in & hors les livres. Implémentés avec la complicité d’écoles supérieures d’arts belges et françaises, l’ambition de ces cycles transdisciplinaires et hybrides est de valoriser des signatures artistiques encore non identifiées publiquement et d’attester autant de l’excellence de ces formations que de leur intrication, à l’heure où les parcours artistiques s’internationalisent et se déterritorialisent.
Quadriennale de Prague 2023 — RAFT, Emergency Theatre
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Quadriennale de Prague 2023 — RAFT, Emergency Theatre
Les étudiant.es de B2 de l'atelier de Scénographie sont lauréat.es d'un concours inter-écoles pour la conception et la réalisation du pavillon étudiant.es Belge à la Quadriennale de Prague 2023.
The RAFT, Emergency Theatre
Emergency Theatre : Un théâtre temporaire construit en réponse à une crise. Concept lié à «l'abri d'urgence» (architecture) et aux «mouvements d'occupations» (socio-politique). Le Emergency Theatre est un lieu culturel qui accueille spectacles, débats et créations in situ ; quand le théâtre traditionnel ne le peut pas, parce qu'il est fermé, détruit ou contrôlé. La crise peut être climatique, économique, politique, sociale, ou comme dernièrement, sanitaire.
Le Raft est un théâtre d'urgence qui se veut une micro-nation sur un bateau, un théâtre pirate sur une plateforme, une cabane métallique dans les arbres. Nous sommes tou.tes ensemble sur ce radeau pour réfléchir, parler, écouter, s'amuser, voir le monde qui nous entoure et imaginer le monde de demain et les solutions d'aujourd'hui. Spectacles live, conférences, jeux de société… ou tout simplement un espace public pour chiller avec vue ! Le RAFT est le lieu de chacun, comme un espace de vie, pour revendiquer et passer à l'action.
Projet collectif conçu et porté par les étudiant.es suivant.es :
Lucie Chauvin-Philippson
Mathis Parmentier
Félicie Decleire
Gaïa Adri
Rafaelle Roux
Projet encadré par Arié van Egmond.
Le concours a été organisé par :
l'ATPS (association des techniciens professionnels du spectacle) et la STA ( scenografie, theatre, architectuur, archieven en onderzoek).
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NAVIRE.AVENIR
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NAVIRE.AVENIR
L'atelier de Design textile a participé à l'initiative interdisciplinaire de PEROU https://www.perou-paris.org/pdf/Actions/02_NAVIREAVENIR_projet.pdf
lors d'un workshop dans les locaux de STAM Europe à Bruxelles, du 24 au 28 janvier 2022.
Première restitution des contributions et des études le 9 avril prochain à Coco Velten, Marseille.
D’évidence, le textile est à bord : cordages, voiles, couvertures, ... En de constantes interactions, il relie, protège, porte, guide, tire, (r)assure. Les qualités fonctionnelles et sensibles du matériau souple résonnent avec les enjeux solidaires et collectifs portés par Navire.Avenir.Les étudiant.e.s et enseignant.e.s de l’ENSAV La Cambre en design textile amorcent des structures réversibles et polyvalentes sur le pont place; tendre un câble, orienter, sécuriser, ombrager, étendre le linge.Comment fabriquer un dispositif fonctionnel, qui contribue à l’accueil sur le navire et laisse une large marge d’appropriation ?
Workshop encadré par Pauline Santoni, Helen Vandevloet, Éric Chevalier, Toma Muteba Luntumbue.
Coordination : Anne Masson et Linda Topic.